[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
Diplôme d'Etat de docteur vétérinaire
Diplôme d'Etat de docteur vétérinaire - DEV
Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'État
Le DE (diplôme d'État) de docteur vétérinaire est obligatoire pour exercer comme vétérinaire.
Le DE s'obtient après la rédaction d'une thèse d'exercice en 6ème année. Après les 5 années d'études, les diplômés peuvent poursuivre les études pour se spécialiser.
Descriptif
Accès
Ce diplôme d'État se prépare dans les 4 écoles publiques suivantes : l'ENVA à Maison-Alfort, VetAgro Sup à Lyon, Oniris à Nantes et l'ENVT à Toulouse et à l'UniLaSalle Rouen (établissement privé sous contrat). Les 4 écoles publiques recrutent sur concours communs post bac ou après 2 années d'études supérieures pour entrer en seconde année du cursus. UniLaSalle Rouen recrute uniquement après le bac.
- Concours post-bac : concours sur dossier scolaire via Parcoursup. Les spécialités recommandées sont :
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En classe de première : la spécialité SVT (ou biologie/écologie dans les lycées agricoles) est fortement recommandée. Sont également , recommandées les spécialités : mathématiques et physique/chimie.
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En classe de terminale : de préférence SVT et physique chimie (l'option mathématiques complémentaires, non prise en compte dans la phase de sélection, reste recommandée pour suivre les études en cas d'admission).
- Concours d'entrée en 2ème année :
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Concours A TB ENV (ouvert aux élèves de la prépa TB)
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Concours B ENV (ouvert aux titulaires d'une licence ou ayant validé une L2)
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Concours C ENV (ouvert aux titulaires d'un BTS/BTSA ou DUT, suivis d'une prépa ATS)
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Concours D ENV (ouvert aux titulaires d'un master ou d'un DE de docteur en médecine, pharmacie, odontologie)
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Concours E ENV (réservé à certains élèves des écoles normales supérieures Paris-Saclay et Lyon)
Le nombre de places ouvertes et leur répartition par concours (et par options pour le concours A), sont fixés chaque année par décret du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.
Pour en savoir plus, consulter les sites des concours:
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Concours postbac : https://concours-veto-postbac.fr/
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Autres concours : https://www.concours-agro-veto.net/
Attendus nationaux de la plateforme d'inscription dans l'enseignement supérieur Parcoursup pour la voie post-bac du concours commun des écoles nationales vétérinaires
SOUHAITER TRAVAILLER AVEC LES ANIMAUX ET LEURS PRODUITS (viande, lait…), EN ETABLISSEMENTS DE SOINS VETERINAIRES, EN ELEVAGE OU DANS L'INDUSTRIE
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Aptitude à travailler avec toutes les espèces animales ;
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Faire preuve d'intérêts pour le monde animal en général, l'élevage, le bien-être animal, la transformation alimentaire et la santé publique, en lien avec les enjeux économiques, sociétaux, environnementaux ;
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Aptitude à décrire l'ensemble des métiers de vétérinaire.
CONNAISSANCES ET COMPETENCES SCIENTIFIQUES
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Aptitude à mettre en place un raisonnement cohérent pour formuler une problématique, mettre en place la démarche d'investigation et en analyser des résultats ;
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Maîtrise des connaissances fondamentales de la biologie.
COMPETENCES EN COMMUNICATION
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Capacité à communiquer à l'écrit et à l'oral de manière rigoureuse et adaptée, en ayant recours à une expression claire, précise et de qualité ;
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Capacité à se documenter dans au moins une langue étrangère, prioritairement anglaise, et aptitude souhaitée à l'écrire et à la parler à un niveau B1 ;
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Aisance avec les outils numériques.
CONNAISSANCES ET COMPETENCES METHODOLOGIQUES
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Capacité d'apprentissage : mémorisation, curiosité, aptitude à s'organiser et à agir de manière autonome ;
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Aptitude à maîtriser son stress et à prendre des décisions dans l'urgence ;
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Aptitude à développer une habileté manuelle de précision.
QUALITES HUMAINES, D'EMPATHIE, DE BIENVEILLANCE ET D'ECOUTE
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Capacité à mener un dialogue en exposant ses idées dans le respect de son interlocuteur ;
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Capacité à interagir au sein d'un groupe, à écouter, à convaincre tout en prenant en compte des opinions divergentes le cas échéant ;
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Aptitude à décider parfois seul face à des situations complexes.
Avoir répondu à un questionnaire d'auto-évaluation disponible sur le site https://concours-veto-postbac.fr/.
La réponse à ce questionnaire est une condition de recevabilité du dossier. Une attestation téléchargeable délivrée par le site est à joindre au dossier de candidature.Ce questionnaire est un outil informatif et pédagogique pour les candidats qui auront ainsi un premier aperçu de l'adéquation de leur profil à l'accès aux études vétérinaires. Les résultats du questionnaire ne sont connus que du seul candidat et ne sont en aucun cas transmis aux écoles nationales vétérinaires.
Poursuite formation
Métiers
- chargé/e de veille législative et réglementaire
Sciences et droit
Le chargé de veille législative et réglementaire s'appuie sur une double compétence : il est à la fois scientifique et juriste. Il sait analyser et synthétiser des textes juridiques. Il est capable d'interpréter des données tant législatives que scientifiques. Il rédige des documents, des notices, des procédures réglementaires, à partir d'informations techniques qu'il doit parfois rendre accessibles à d'autres personnes de l'entreprise. Son savoir scientifique est pointu : la plupart des chargés de veille réglementaire du secteur pharmaceutique sont des médecins ou des pharmaciens.
Anglais indispensable
Il exerce dans un environnement européen et international. L'anglais est sa langue de travail au quotidien : pour lire les textes officiels, rédiger des documents techniques, mais aussi pour échanger avec des interlocuteurs de diverses nationalités.
Rigueur et relationnel
Ce métier requiert beaucoup de rigueur, un bon esprit de synthèse et le sens de la communication.
De nombreux interlocuteurs...
Il travaille dans un esprit d'équipe et de collaboration. En effet, si le chargé de veille législative et réglementaire assure principalement la gestion d'une documentation juridique au sein de son entreprise, il exerce aussi un rôle de conseiller auprès des différents services (production, commercial, marketing...). Il est donc amené à rencontrer les ingénieurs de production et les équipes commerciales et marketing, qu'il aide à anticiper les nouvelles normes.
... pour une fonction transversale
Les métiers de l'intelligence réglementaire s'apparentent à ceux de l'intelligence économique, fortement développés dans les pays anglo-saxons. Il s'agit de mieux faire circuler l'information stratégique au sein d'une entreprise et de partager des connaissances accumulées.
Le chargé de veille législative et réglementaire peut être rattaché au directeur des études recherche et développement, à la direction de l'entreprise dans le cas d'une PME (petite ou moyenne entreprise), au sein du service réglementaire, etc.
Informer sur la législation
Rattaché à un laboratoire, le chargé de veille législative et réglementaire est le spécialiste de la législation sur les médicaments. Parce que l'activité des entreprises pharmaceutiques s'exerce dans un cadre très strict, fixé par le Code de la santé publique, le chargé interprète, synthétise et diffuse les nouveaux textes réglementaires et scientifiques qui paraissent en France et à l'étranger. Il transmet, au sein de l'entreprise, des informations actualisées, auxquelles il ajoute ses préconisations. Il gère l'archivage de la documentation réglementaire. Il supervise les traductions de documents comme les AMM (autorisations de mise sur le marché) qui permettent de commercialiser des médicaments en France, les demandes de renouvellement, de modification... afin de valider l'exactitude des informations transmises aux autorités.
Faciliter la prise de décision
Il évalue l'impact d'une nouvelle réglementation ou d'une découverte scientifique. Pour être toujours à jour, il consulte des bases de données, conçoit des techniques de recherche et de veille. Il rédige des documents de synthèse (fiches et autres reportings) dont l'objectif est de faciliter le travail de la production, en aidant les managers à faire des choix stratégiques.
Accès
On accède au métier principalement avec un master en sciences de la santé ou en droit, ou un diplôme d'État de docteur en pharmacie, docteur en médecine ou docteur vétérinaire.
Niveau bac + 5
Master en droit de la santé ; économie, gestion et réglementation de la santé ; biologie, santé, sciences du médicament ; sciences du médicament ; affaires réglementaires des industries de santé ; stratégies juridiques et économiques de mise sur le marché des produits de santé ; communication numérique, conduite de projets et veille stratégique ; intelligence économique et stratégie compétitive...
Niveau bac + 6 et plus
Diplôme d'État (DE) de docteur en pharmacie option industrie
Diplôme d'État (DE) de docteur vétérinaire
Niveau bac + 9 et plus
Diplôme d'État (DE) de docteur en médecine
- ingénieur/e production dans les biotechnologies
Avoir une culture scientifique à jour
Le développement des nouvelles technologies et l'émergence des biomédicaments nécessitent une mise à jour régulière des compétences scientifiques, notamment en biologie (biologie cellulaire, biologie moléculaire, microbiologie, etc.) de l'ingénieur production dans les biotechnologies.
Savoir manager
Ce professionnel est un meneur d'hommes. Il planifie et coordonne le travail de ses équipes. Il choisit l'affectation d'un technicien à un poste donné, en fonction du plan de production et de ses compétences individuelles. Il fixe des objectifs à ses collaborateurs, établit leurs bilans de performances. Il prévoit aussi leurs formations. Il a un très bon relationnel et du goût pour le travail en équipe.
Être un organisateur hors pair
Il a également le sens de l'organisation et sait gérer plusieurs tâches en parallèle. Il doit résoudre le plus efficacement possible les problèmes de flux, de maintenance et de qualité. Réactif, il sait trouver une solution rapide en cas de dysfonctionnement. Il lit des documents techniques, généralement écrits en anglais.
En unité de fabrication
L'ingénieur production dans les biotechnologies travaille au sein d'une unité de fabrication, dans les entreprises du médicament, de la cosmétique, de l'alimentaire ou encore de l'environnement et de l'énergie. Il y supervise le travail de production. En biotechnologie " bleue " (biotechnologie marine), par exemple, il supervise la production de micro-algues (utiles en cosmétique), produites par des bioréacteurs au sein d'un laboratoire.
Avec une tenue réglementaire
Intervenant dans un environnement de travail aseptisé, les règles d'hygiène et de sécurité imposent le port d'une tenue particulière : blouse, gants, parfois même masque, lunettes et charlotte sur la tête...
Un travail en équipe
L'ingénieur production dans les biotechnologies entretient un dialogue permanent avec les différents services de l'entreprise qui l'emploie (qualité, recherche et développement, finance, logistique, etc.). Il dirige également une équipe de production.
Produire plus et mieux
Maître d'oeuvre de toute la production, l'ingénieur production dans les biotechnologies tente d'en améliorer le rendement, en tenant compte des impératifs liés aux spécificités de fabrication (composants biologiques, utilisation d'automates...) et en respectant des procédures strictes.
Parer aux imprévus
Un grain de sable dans les rouages ? Il en fait son affaire ! Pour anticiper tout risque, il met en place des mesures de prévention et de sécurité, contrôle l'état de marche des machines, s'assure de l'approvisionnement en matières premières, etc. Son rôle est avant tout d'identifier les anomalies éventuelles. Lorsque survient un problème (commande de dernière minute, matériel défectueux, manque de personnel...), à lui d'établir, en urgence, un plan d'action pour y remédier.
Coordonner les équipes
Dans une équipe, chacun doit savoir ce qu'il doit faire. Pour s'en assurer à l'échelle d'une usine, l'ingénieur production dans les biotechnologies veille à l'harmonie des tâches, au respect des normes (hygiène, sécurité, qualité...), à l'optimisation des coûts et des délais...
Accès
Le métier d'ingénieur production en biotechnologies est accessible avec un bac + 5 au minimum.
Niveau bac + 5
Master en gestion de production, génie des procédés, chimie, biologie ; en infectiologie, médicaments...
Diplôme d'ingénieur en gestion de production, génie des procédés, chimie, biologie ou pharmacie industrielle
Niveau bac + 6 et plus
Diplôme d'État de docteur en pharmacie
Diplôme d'État de docteur vétérinaire
- responsable de laboratoire de contrôle en biologie
Avoir une culture scientifique à jour
Une bonne culture scientifique est nécessaire pour exercer ce métier, notamment en biologie (biologie cellulaire, biologie moléculaire, immunologie, enzymologie, etc.) afin de bien saisir les enjeux des tests développés. Le développement des nouvelles technologies et l'émergence des biomédicaments nécessitent une mise à jour régulière des compétences scientifiques. De plus, les médicaments fabriqués devant obéir à la réglementation en vigueur, une veille technologique et réglementaire est donc indispensable.
Savoir manager
Le responsable de laboratoire de contrôle en biologie sait aussi rédiger : il met en forme les protocoles et les procédures des contrôles. Il lit et écrit des documents techniques, le plus souvent en anglais.
Il sait aussi respecter un budget. Il intervient également dans l'organisation du laboratoire et doit savoir gérer les ressources humaines (recrutement de collaborateurs, évaluation et formation du personnel).
En laboratoire
Le responsable de laboratoire de contrôle en biologie travaille au sein d'un laboratoire, dans les entreprises du médicament, de la cosmétique, mais aussi de l'alimentaire ou encore de l'environnement et de l'énergie, où il supervise le travail d'analyse.
Un travail d'équipe
Chef de service, il encadre et coordonne le travail d'une ou plusieurs équipes. Il dirige les techniciens de laboratoire, et assure également les interactions entre son service et les autres départements de l'entreprise.
Une fonction transversale
Souvent présent dans le laboratoire de contrôle, il se déplace aussi dans les autres services. Garant du respect des normes en vigueur, il collabore avec des interlocuteurs multiples dans l'entreprise. Il réalise notamment des investigations, en cas d'anomalies du produit, qui l'amènent à travailler avec les ingénieurs de la production. Il est aussi en contact étroit avec la direction, qui attend son feu vert pour commercialiser un nouveau médicament ou un nouveau produit cosmétique.
Suivre la fabrication d'un produit
Afin de fabriquer un médicament, par exemple, le responsable de laboratoire de contrôle en biologie analyse les matières premières à leur arrivée sur le site, les produits en cours de fabrication et les produits finis. Ayant de solides connaissances en chimie et en biologie, il maîtrise les différents éléments qui constituent le médicament. Si les matières ou produits ne correspondent pas aux normes officielles, ou s'il y a des interactions entre les différents composants, ce responsable peut décider d'arrêter la production.
Garantir la conformité
Analyses physico-chimiques, biologiques, etc., ce professionnel supervise les tests réalisés par les techniciens qui vérifient et évaluent la qualité et le respect de la réglementation. Il observe la diffusion du principe actif dans l'organisme, recherche d'éventuelles impuretés dans les matières premières ou des produits de dégradation en testant le produit dans des conditions extrêmes. C'est lui qui définit une procédure pour chacune des opérations de contrôle au sein du laboratoire, et veille au respect de la réglementation. Si tout est en ordre, il délivre la précieuse certification " conforme " qui autorise le lot à entrer sur le marché. Outre le respect de la qualité, celui des délais et des coûts est au coeur de son activité.
Accès
Ce métier est accessible à des personnes déjà expérimentées, ayant un diplôme d'État de pharmacien, de vétérinaire, un master scientifique ou un diplôme d'ingénieur.
Niveau bac + 5
Master chimie ; biologie ; recherche infectiologie ; médicaments
Diplôme d'ingénieur en chimie, biologie ou pharmacie industrielle
Niveau bac + 6 et plus
Diplôme d'État de docteur en pharmacie
Diplôme d'État de docteur vétérinaire
Formation complémentaire possible en contrôle des médicaments ou chimie analytique
- vétérinaire
Le geste précis
Le vétérinaire sait observer et analyser le comportement des animaux pour établir le bon diagnostic. Il fait preuve d'une grande habileté lors des interventions chirurgicales. La profession exige, bien sûr, une aisance particulière avec les animaux.
Des connaissances larges et un raisonnement systémique
Le nombre d'espèces concernées et les différentes facettes des métiers de vétérinaire imposent d'avoir une base de connaissances larges et évolutives. Ce professionnel doit surtout être capable de les intégrer dans un mode de raisonnement dit « systémique », c'est-à-dire prenant en compte divers paramètres et contraintes très variées, intégrant l'animal, le troupeau ou le groupe d'animaux le cas échéant, le propriétaire, le contexte économique et social, etc. Il est souvent amené à prendre des décisions rapidement et en situation d'incertitude.
Un bon contact
Le vétérinaire sait aussi conseiller, en particulier pour rassurer les particuliers ou les éleveurs, parfois stressés par la maladie de leur animal ou par les risques d'épidémie menaçant leur bétail.
Très disponible
Le métier de vétérinaire, notamment en libéral, nécessite une très grande disponibilité. Les professionnels peuvent être soumis à des gardes. Une bonne résistance physique est également importante, surtout lorsqu'il faut immobiliser des animaux aux gabarits impressionnants (taureaux, chevaux...).
Un bon gestionnaire
En libéral, le praticien est souvent chef d'entreprise, avec parfois des salariés sous sa responsabilité. Des connaissances en gestion et de la rigueur sont indispensables pour faire vivre son cabinet.
Libéral ou salarié
En ville, le vétérinaire peut être appelé à domicile pour des urgences. Le plus souvent, il consulte à son cabinet, dans une clinique vétérinaire ou dans un CHV (centre hospitalier vétérinaire). Il y exerce à son compte ou comme salarié. À la campagne, où les animaux sont d'un autre gabarit, le vétérinaire doit faire preuve d'une grande disponibilité et s'attendre à de nombreux déplacements. On le reconnaît à son véhicule aménagé pour transporter les médicaments et le matériel, sillonnant la campagne jusqu'aux exploitations agricoles.
Fonctionnaire ou militaire
Les directions départementales de la protection des populations emploient des vétérinaires fonctionnaires. Ils contrôlent le bon état sanitaire des élevages et la qualité de l'alimentation. L'armée emploie des officiers vétérinaires pour soigner ses animaux (chiens, chevaux). Enfin, les enseignants-chercheurs des ENV (écoles nationales vétérinaires) sont majoritairement des vétérinaires.
En équipe
Aujourd'hui, le vétérinaire travaille en équipe. En ville, les cliniques et les CHV (centres hospitaliers vétérinaires) rassemblent de 2 à parfois plus de 20 vétérinaires, aidés par des auxiliaires spécialisés vétérinaires. Dans les universités ou dans l'industrie, c'est entouré de médecins et de pharmaciens qu'il réfléchit à la mise au point de nouveaux médicaments... sans forcément être au contact des animaux.
Soigner les animaux de compagnie
Le vétérinaire dit « canin » soigne, opère et stérilise surtout les chiens et les chats. Il s'occupe aussi de petits mammifères, de reptiles et d'oiseaux. Il exerce le plus souvent en cabinet; en clinique (il peut alors hospitaliser les animaux) ou bien dans des CHV (centres hospitaliers vétérinaires) qui sont en plus dotés de vétérinaires spécialistes dans différents domaines (médecine interne, chirurgie, dermatologie, imagerie médicale, etc.
Soigner les animaux de production
À la campagne, le vétérinaire « mixte » partage son temps entre les animaux de compagnie et les interventions en élevage. Ce vétérinaire rural donne à l'éleveur des conseils techniques et diététiques. Il effectue également des contrôles sanitaires. Il réalise des soins et des interventions chirurgicales sur les animaux de l'élevage. Il garantit ainsi le bien-être animal et la qualité sanitaire « de la fourche à la fourchette » : il est présent depuis l'insémination artificielle d'une vache jusqu'à la naissance de son veau et au contrôle de son lait, et jusqu'à son départ pour l'abattoir.
Soigner les chevaux
À la ville ou à la campagne, le vétérinaire s'occupe également de la médecine et de la chirurgie équines. Il est alors vétérinaire « canin » ou « rural » avec une activité en lien avec les chevaux ou vétérinaire souhaitant se consacrer uniquement aux équidés.
Soigner les animaux sauvages
Qu'ils soient en captivité ou en liberté, les animaux sauvages ont, eux aussi, besoin des soins d'un vétérinaire. C'est même une obligation légale dans les zoos. Le nombre d'emplois concernés reste toutefois très faible.
Garantir la santé publique
Le vétérinaire, qu'il soit privé sous contrat avec l'État ou fonctionnaire (inspecteur de la santé publique vétérinaire, fonctionnaire du ministère de l'Agriculture,) participe au contrôle de l'hygiène et de la sécurité sanitaire dans les abattoirs, les industries agroalimentaires et tous les lieux de restauration. Il intervient en cas d'épizootie (maladie animale contagieuse) et surtout en cas de zoonose (maladie animale transmissible à l'homme) et participe ainsi largement à la santé publique. Il est le garant du respect des lois et règlements en vigueur en matière de santé animale, de santé publique et de bien-être animal.
Participer à la recherche
Dans l'industrie, le vétérinaire participe à la mise au point, à la production et à la commercialisation de médicaments et d'aliments pour animaux, de produits agroalimentaires. Il peut aussi s'orienter vers la recherche universitaire ou les laboratoires d'analyses.
Accès
Il faut compter 6 années d'études, au minimum, après le bac pour obtenir le DEV (diplôme d'État de docteur vétérinaire), nécessaire à l'exercice de la profession. Ce diplôme d'État se prépare dans les 4 écoles publiques suivantes : l'ENVA à Maison-Alfort (94), VetAgro Sup à Lyon (69), Oniris à Nantes (44), l'ENVT à Toulouse (31) et à l'UniLaSalle Rouen (76) (établissement privé sous contrat). Les 4 écoles publiques recrutent sur concours communs post bac ou après 2 années d'études supérieures pour entrer en seconde année du cursus. UniLaSalle Rouen recrute uniquement après le bac.
Niveau bac + 6 minimum
DEV (diplôme d'État de docteur vétérinaire)
Etablissement
- École nationale vétérinaire de ToulouseToulouse31076
école vétérinaire
École nationale vétérinaire de Toulouse
23 chemin des Capelles, BP 87614
31076
Toulouse
05 61 19 38 02
• Enseignement : public
• Durée de formation : 5 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : externat
• Début : 01/09/2024
• Fin : 30/06/2029