[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
bac pro Réalisation de produits imprimés et plurimédia option B productions imprimées
bac pro Réalisation de produits imprimés et plurimédia option B productions imprimées
Ministère chargé de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'État
Le titulaire de ce bac pro conduit des machines à imprimer d'exploitation complexe. Il travaille dans des ateliers d'impression, des imprimeries de labeur ou de presse. Sa maîtrise de l'ensemble des procédés technologiques (offset, héliogravure, sérigraphie...) et des nouvelles technologies d'impression numérique lui permet de s'adapter à une ou plusieurs machines. En général, Il prépare, règle et conduit la production. Il réalise l'imposition et la forme imprimante. Il choisit, dose et contrôle la qualité des matières premières : des encres et de leur teinte, des solvants. Il participe aux opérations de massicotage et pliage. Il veille à la qualité de l'impression.
D'abord recruté comme conducteur de machine d'impression, le diplômé peut accéder, après une expérience professionnelle, aux fonctions de chef d'équipe ou à un poste d'encadrement.
Accéder à l'option A productions graphiques
Descriptif
Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de 3e. Les élèves entrent en 2de professionnelle Métiers des industries graphiques et de la communication en vue de préparer cette spécialité du bac pro.
L'accès est différent pour les élèves en apprentissage qui entrent directement dans cette spécialité de bac pro sans passer par une 2de pro famille de métiers.
Les élèves titulaires des CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.
Poursuite
Le bac pro a pour premier objectif l'insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l'examen, une poursuite d'études est envisageable en BTS.
Poursuite formation
- BTS Études de réalisation d'un projet de communication option B études de réalisation de produits imprimés
Métiers
- coloriste (papier-carton)
Un bon oeil
Tout comme on doit avoir un nez pour composer des parfums, le coloriste doit avoir un bon oeil pour reproduire une couleur et trouver sa composition exacte. C'est grâce à l'obtention de la bonne formule qu'il pourra s'approcher au mieux de la couleur souhaitée par le client, tout en respectant le cahier des charges.
De la logique
Le métier de coloriste fait également appel au raisonnement logique, à la réflexion et à l'analyse. Le bon dosage se trouve aussi par équations mathématiques, surtout depuis l'avènement des logiciels.
Et de la rigueur
S'il est important d'être créatif, la rigueur est également de mise dans ce métier, car la couleur trouvée doit être reproductible et stable. Par ailleurs, les composantes doivent être manipulées avec minutie et dextérité.
Collaboration
Même s'il travaille le plus souvent seul au moment de la création d'une couleur, le coloriste n'est pas isolé pour autant. Il est en relation avec de nombreux interlocuteurs et services de l'entreprise : la production, le commercial, le laboratoire de recherche et parfois même directement avec le client. Ses journées ne se ressemblent pas, car chaque projet est différent.
Sécurité
Le coloriste peut être amené à manipuler des produits qui lui imposent de porter des EPI (équipements de protection individuelle) : lunettes, gants et parfois même un masque.
Environnement
Les questions environnementales sont au coeur des préoccupations des industries des papiers cartons. Le coloriste aura donc en tête de préserver les ressources, notamment en eau, de veiller à l'innocuité des produits employés pour teinter le papier ou les emballages, etc.
Rechercher le dosage
À partir d'un échantillon fourni par le client et généralement transmis par le commercial, le coloriste recherche le mélange d'encres le plus adapté, ainsi que le dosage précis pour chaque composant. Son but est de restituer au mieux la couleur souhaitée, en tenant compte du support (papier, carton, etc.) qui peut faire varier la teinte initiale au moment de l'impression.
Adapter la recette
Travaillant au départ à l'oeil, le coloriste s'appuie également sur des logiciels spécifiques d'analyse des couleurs. Il doit aussi prendre en compte les notions de coûts, de qualité et d'environnement, très présents dans les entreprises de l'industrie des papiers cartons.
Faire le suivi
Il réalise plusieurs tests d'impression et, le cas échéant, ajuste sa formulation. Il définit les quantités d'encres nécessaire à la fabrication et programme les paramètres dans la machine qui produit la couleur. Il met à jour les fiches recettes des teintes pour pouvoir les reproduire à l'identique si nécessaire. Enfin, il suit l'état de ses stocks pour ne jamais être à cours. Il peut également être force de proposition auprès du service commercial en étant à l'origine de nouvelles teintes.
Accès
Si beaucoup de coloristes sont formés sur le tas dans l'entreprise, un bac scientifique ou un bac professionnel du secteur est de plus en plus demandé à l'embauche. Certaines entreprises demandent même un diplôme de niveau bac + 2. La nouvelle recrue ne commencera pas forcément directement par le métier de coloriste, qui demande, en principe, un peu d'expérience et une formation en interne.
Niveau bac
Bac professionnel réalisation de produits imprimés et plurimédia (RPIP) ; procédés de la chimie, de l'eau et des papiers cartons (PCEPC)
Niveau bac+2
BTS pilotage des procédés (PP) ; études de réalisation d'un projet de communication (ERPC) ; métiers de la chimie
- conducteur/trice de machines à imprimer
Précision et sens de l'esthétique
Le conducteur de machines à imprimer doit posséder un certain sens artistique et surtout une juste perception des couleurs lorsqu'il effectue ses mélanges, ou encore lors du contrôle qualité. Il doit également être précis afin de coller parfaitement à la demande du client.
Réactivité et résistance physique
La rigueur et la minutie sont essentielles. Il faut agir vite et bien. Certains travaux de manutention requièrent en outre de la force et de la dextérité. Par ailleurs, les rouleaux de papier pèsent lourd, ce qui demande au conducteur d'avoir une bonne condition physique. À noter : la manipulation de certains produits chimiques utilisés lors de l'entretien des machines peut indisposer les personnes allergiques.
Connaissances techniques et informatiques
Comme il faut parfois ajuster les machines, des notions en automatismes et mécanique peuvent être utiles. Il est également impératif de maîtriser l'outil informatique, en sachant s'adapter aux évolutions technologiques. Enfin, conduire une machine à imprimer implique de connaître la chaîne graphique de A à Z, du montage à la finition, ainsi que les différents procédés d'impression, les différentes sortes d'encres et de papier.
Derrière une console informatisée
Les nouvelles machines à imprimer ont profondément modifié le métier. Fini l'odeur âcre des effluves de plomb et les uniformes bleus maculés de taches. Aujourd'hui, le conducteur de machines à imprimer a troqué ses outils contre des consoles numériques. Les réglages se font désormais à distance. Pour autant, le métier n'a rien perdu de sa diversité et la manutention n'a pas complètement disparu, notamment pour caler les plaques manuellement ou régler de petits problèmes techniques. L'automatisation ayant considérablement réduit la taille des équipes, le conducteur travaille souvent de façon autonome.
Des contraintes de planning variables
Ce professionnel est parfois soumis à un régime d'astreinte (la nuit, le week-end...), surtout dans l'imprimerie de presse. Hors presse, il exerce dans des ateliers d'imprimerie travaillant au service de mairies, d'agences de communication, d'entreprises diverses ou encore chez des éditeurs ou des fabricants d'étiquettes. Il travaille alors de jour, mais doit respecter des délais de production de plus en plus courts.
Des consignes de sécurité
Il est recommandé au conducteur de porter des EPI (équipements de protection individuelle) : chaussures de sécurité et éventuellement des gants, notamment lors de la manipulation des produits utilisés pour l'entretien des machines.
Différentes machines
Le conducteur de machines à imprimer travaille sur des machines plus ou moins complexes et automatisées : machines 1, 2, 3, 4 couleurs et plus, à commandes numériques, sérigraphiques, rotatives... La majorité conduit une machine offset, qui est la technique d'impression la plus répandue aujourd'hui.
Préparer l'impression
Il commence par examiner la commande et les instructions du dossier de fabrication. Ses méthodes de travail varient selon la machine qu'il conduit. S'il s'agit d'une machine offset, il encre et presse des plaques contre des cylindres de caoutchouc qui impriment le papier, puis fixe les plaques sur le cylindre : c'est ce qu'on appelle le calage. Suit la phase de réglage du papier : marges, pression, alimentation, mise en place et réception. Ensuite, vient la préparation des encres et des couleurs.
Contrôles, réglages et entretien
Responsable de la qualité du tirage des documents, le conducteur procède à des essais avant l'impression. C'est le moment pour repérer les défauts éventuels d'impression et y remédier par de nouveaux réglages. Il obtient ensuite le "bon à rouler" du client et peut lancer l'impression. Pendant celle-ci, il contrôle la qualité et la conformité du produit avec la demande initiale du client. Enfin, il entretient régulièrement sa machine.
Accès
Le bac professionnel réalisation de produits imprimés et plurimédia (RPIP), option B productions imprimées, et le BTS études de réalisation d'un projet de communication (ERPC), option B études et réalisation de produits imprimés conduisent à ce métier.
Niveau bac
Bac professionnel réalisation de produits imprimés et plurimédia (RPIP), option B productions imprimées ; façonnage de produits imprimés, routage
Niveau bac + 2
BTS études de réalisation d'un projet de communication (ERPC), option B études de réalisation de produits imprimés
- façonnier/ère des industries graphiques
Des qualités artistiques et techniques
Dans le cas de l'artisan relieur-doreur, le travail se fait à la main. Il doit alors avoir de grandes qualités artistiques. Mais quand le façonnier est salarié dans un service de façonnage, des compétences en électronique, mécanique et informatique lui sont également nécessaires pour programmer les machines et régler des pannes simples. Il doit de plus connaître l'ensemble de la chaîne graphique, les matériaux (papier, carton...) et les conditions de réalisation des produits finis (livres, cartes, emballages).
Précision et rigueur
Les réglages des machines se jouent parfois au centième de millimètre près, réclamant une grande minutie. Le choix des paramètres demande également beaucoup de rigueur : à chaque papier, sa colle ; à chaque support, son format, etc. La moindre erreur pourrait avoir de lourdes conséquences et entraîner des retards de livraison du produit fini au client.
Réactivité et résistance physique
Une machine qui tombe en panne, des délais très serrés... les nerfs du façonnier sont quelquefois soumis à rude épreuve. Savoir gérer le stress est donc une nécessité pour agir vite et bien. De plus, une certaine résistance physique permet de supporter les manutentions et les heures passées debout.
Au rythme des évolutions technologiques
Auparavant manuels, les travaux de finition se font désormais pour la plupart sur des machines automatisées aux commandes numériques. Les techniques devenant de plus en plus perfectionnées, le façonnier doit donc savoir s'adapter et se former à ces nombreuses évolutions. Par ailleurs, ces machines exigent du façonnier de respecter certaines consignes de sécurité.
En atelier
L'activité, sédentaire, s'exerce le plus souvent debout, en atelier, dans une atmosphère parfois bruyante. La plupart des professionnels sont salariés, travaillant seuls ou en équipe, sous la direction d'un chef d'atelier ou d'un responsable de façonnage. Ils exercent dans des ateliers indépendants spécialisés dans le façonnage ou intégrés à des imprimeries. Le façonnier peut être spécialisé dans la brochure-reliure : il est, par exemple, relieur-doreur et a alors le statut d'artisan.
Des délais serrés
La programmation informatique permet certes d'accroître les performances, mais les délais sont de plus en plus serrés, d'où un certain stress pour le façonnier. Ses horaires sont organisés à la journée mais il arrive qu'il soit soumis à un régime d'astreinte (la nuit, le week-end), surtout dans l'imprimerie de presse.
Donner son aspect définitif à l'imprimé
Le façonnage est la dernière étape de la réalisation d'un imprimé. Aux commandes d'une machine de finition, le façonnier rassemble les différents éléments imprimés : par exemple, les pages intérieures d'un livre (cahiers) et la couverture. Puis il réalise les opérations de finition pour en faire un document unique, finalisé et prêt à être envoyé au client.
Couper, plier et assembler
Ces opérations sont réalisées sur des machines différentes. Le façonnier peut ainsi travailler sur une massicoteuse et prendre en charge la coupe des produits imprimés en veillant au respect des dimensions préalablement définies. Sur une plieuse, il constitue des cahiers à partir des piles de feuilles. Sur une assembleuse, il assemble les cahiers entre eux par agrafage, couture ou collage, selon la reliure choisie. Polyvalent, il peut être amené à conduire une ou plusieurs de ces machines.
Programmer, contrôler
Après avoir étudié le dossier de fabrication transmis par le service impression, le façonnier procède aux réglages et à l'approvisionnement de sa machine. Il la programme, charge les documents à façonner, puis contrôle la qualité des travaux de finition. Chargé de l'entretien de la machine, il doit également être capable d'intervenir en cas de panne simple.
Accès
Il existe essentiellement un diplôme de niveau ouvrier qualifié, formant des professionnels polyvalents sur des machines de finition de plus en plus complexes : le bac pro Façonnage de produits imprimés routage .
En ce qui concerne les techniques traditionnelles de conception à la main, on peut citer le CAP arts de la reliure et le BMA art de la reliure et de la dorure.
Niveau CAP-BEP
CAP arts de la reliure
Niveau bac
Bac pro Réalisation de produits imprimés et plurimédia
Bac pro Façonnage de produits imprimés routage
BMA Art de la reliure et de la dorure
- opérateur/trice prépresse
Réactif et rigoureux
L'opérateur prépresse respecte des règles graphiques précises ainsi que des délais généralement très serrés. Concentration, rigueur et organisation sont des qualités essentielles dans ce métier. De même qu'une bonne résistance au stress et au travail dans l'urgence. Par ailleurs, il doit maîtriser l'orthographe et les règles typographiques.
Bon technicien
L'opérateur prépresse maîtrise la chaîne graphique ainsi que les procédés et contraintes d'impression. Dans certaines entreprises, il peut être amené à utiliser lui-même des machines à imprimer (offset) ou de finition (massicot, plieuse...). Ses capacités à effectuer de simples réglages sont alors très appréciées. Entièrement informatisé, le métier nécessite également la maîtrise de plusieurs logiciels de PAO (publication assistée par ordinateur), tels InDesign, Photoshop, Quark X-Press, Illustrator...
Sens de l'esthétique et curiosité
L'opérateur prépresse doit avoir le sens des couleurs et de la mise en pages afin de réaliser un document esthétique et visuellement attractif. Il doit également faire preuve de curiosité et d'adaptabilité pour connaître les nouveaux outils qui sortent périodiquement sur le marché, mais aussi pour rester dans l'air du temps et coller aux tendances actuelles du graphisme.
Différents lieux d'exercice
L'opérateur prépresse exerce au sein d'agences de création (studios graphiques, agences de pub ou de communication), de maisons d'édition ou d'imprimeries de presse ou de labeur. Il peut également exercer dans des collectivités territoriales (mairies, communautés de communes...) pour valoriser leur communication.
Proche du graphiste
L'opérateur réalise la mise en pages d'un imprimé d'après les directives d'un graphiste ou d'un maquettiste qui aura assuré l'aspect créatif avec le client. Il a donc le rôle d'un exécutant. Mais dans certaines agences, la frontière entre l'exécution et la création est floue : il est alors également maquettiste ou graphiste. De plus, certains clients assurent eux-mêmes les activités de prépresse.
Autonome mais avec des contraintes
Il jouit d'une certaine autonomie dans son travail, même si la collaboration entre les différents professionnels (rédacteurs, imprimeurs, éditeurs...) est indispensable. Il doit néanmoins appliquer une charte graphique, respecter des délais de plus en plus courts et faire face à des contraintes techniques diverses.
Une adaptation permanente
Les logiciels de PAO (publication assistée par ordinateur) qui permettent le traitement simultané des textes et des images évoluant très vite, il doit se tenir constamment à l'affût des dernières innovations.
Premier maillon de la chaîne graphique
Situé après la création graphique, le prépresse est la première étape de la réalisation d'un imprimé. Elle précède l'impression proprement dite et la finition (massicotage, reliure...). Auparavant appelé photograveur, compositeur ou monteur, l'opérateur prépresse a pour mission de mettre en forme les contenus des futurs imprimés afin qu'ils soient prêts à imprimer.
Enrichir et mettre en pages
Première phase du travail : enrichir les fichiers informatiques transmis par un client en leur apportant des corrections orthotypographiques ou colorimétriques si nécessaire... Vient ensuite la mise en pages sur écran : il s'agit alors de caler les textes et les images. L'opérateur prépresse respecte généralement un cahier des charges, ou dossier de fabrication, qui contient les indications à suivre. Il sort ensuite les épreuves sur " traceur ", afin que le client donne son accord par un BAT (bon à tirer). Enfin, il envoie le fichier validé au CTP (computer to plate) qui va produire les plaques nécessaires pour l'impression.
Travailler les photos
L'opérateur prépresse peut modifier les couleurs des illustrations, recadrer ou détourer les photos. Il est aussi amené à résoudre d'éventuels problèmes techniques sur les fichiers pour les rendre exploitables.
Accès
L'accès au métier se fait avec le bac pro qui peut être complété par le BTS et une licence pro qui permet d'accéder, après expérience, à des postes d'encadrement et de gestion de production.
Niveau bac
Bac professionnel réalisation de produits imprimés et plurimédia
Niveau bac + 2
BTS études de réalisation d'un projet de communication, option A étude de réalisation de produits plurimédia
Niveau bac + 3
Licences pro ingénierie et management de projets en communication et industries graphiques
- sérigraphe
Un artiste scientifique
Le sérigraphe doit posséder un sens de l'esthétique développé pour réaliser une impression de qualité. Il est minutieux et soigneux afin de ne pas gâcher d'encre ni de supports. Il possède également quelques notions de chimie et de mathématiques, utiles lors de l'utilisation des encres et des différents solvants.
Un oeil avisé
Certains travaux, délicats à réaliser, réclament des qualités d'observation pour percevoir les détails. Le sérigraphe doit avoir un bon coup d'oeil pour scruter les défauts d'impression, par exemple, et jauger la qualité de l'impression. Une vision correcte des couleurs est également indispensable.
Des capacités d'adaptation
Le sérigraphe doit s'adapter aux évolutions technologiques, mais il doit aussi accorder ses méthodes de travail avec les commandes et les supports : ainsi, on n'imprime pas un T-shirt comme une carte à puce. De plus, les contacts avec les clients nécessitent des qualités relationnelles. Il doit accepter leurs critiques pour mieux satisfaire leurs demandes.
Une technique évolutive
Technique traditionnelle et artisanale, la sérigraphie est aujourd'hui de plus en plus industrialisée. D'autant plus que l'informatique et les lignes d'impression numérisées ont supplanté le travail à la main : le sérigraphe opère à partir de motifs numériques réalisés avec des logiciels de PAO (publication assistée par ordinateur) ou de DAO (dessin assisté par ordinateur). Il doit donc avoir des connaissances en mécanique, en électronique et en informatique afin d'effectuer les réglages éventuels des machines.
Dans un atelier artisanal ou industriel
Le sérigraphe est salarié dans un atelier, le plus souvent au sein d'une entreprise artisanale. Il peut également être salarié d'une société de sérigraphie industrielle ou encore d'un atelier intégré à une entreprise : certaines sociétés utilisant régulièrement la sérigraphie (automobile, céramique, industrie textile) embauchent parfois directement des sérigraphes. Certains choisissent également de s'installer à leur compte.
Un environnement réglementé
Le sérigraphe utilise des produits chimiques qui peuvent être dangereux. Le port de gants est recommandé. Enfin, le sérigraphe passe de longues heures debout, à contrôler le processus de l'impression.
Imprimer des dessins
Le sérigraphe imprime des motifs de façon répétée sur différents supports. Il peut les créer lui-même, d'après les instructions d'un client (industriels, publicitaires, professionnels des arts graphiques), ou travailler directement à partir d'un fichier déjà fourni par le client. Il fabrique ensuite une image négative de ce motif qu'il reporte sur un écran sous lequel est placé le support à imprimer. L'encre est déposée sur l'écran et c'est en la faisant pénétrer à travers les parties non obturées de l'écran que le sérigraphe réalise l'impression. Les supports imprimés sont ensuite séchés et les écrans nettoyés.
Contrôler et entretenir
Le sérigraphe s'assure du bon fonctionnement des machines d'impression, en effectue l'entretien et la maintenance. Il règle les paramètres d'impression, sélectionne, dose et mélange les encres selon la teinte voulue et les supports à imprimer. Enfin, il vérifie la qualité des produits finis.
Travailler sur tous supports
La sérigraphie peut être utilisée dans la publicité, la décoration, la mode, l'aéronautique, les industries du verre, de l'automobile, etc. Le nombre de couleurs est illimité. De même, les encres peuvent être mates, brillantes, fluorescentes, etc. Enfin, les supports sont variés (papier, bois, verre, plastique, tissu...).
Accès
La voie classique de formation reste le CAP sérigraphie industrielle. Les élèves peuvent aussi préparer le bac professionnel .
Autre possibilité : préparer le bac pro artisanat et métiers d'art option communication visuelle plurimédia.
Le BTS communication et industries graphiques permet d'élargir et de faire évoluer son niveau de compétences. Il forme les techniciens à la gestion d'équipe et à tous les aspects de la chaîne graphique.
Niveau CAP
CAP sérigraphie industrielle
Niveau bac
Bac pro réalisation de produits imprimés
Bac pro artisanat et métiers d'art option communication visuelle plurimédia
Niveau bac + 2
BTS études de réalisation d'un projet de communication option B étude et réalisation de produits imprimés
Etablissement
- LP S HesselToulouse31079
Lycée professionnel
LP S Hessel
44 chemin Cassaing, BP 55205
31079
Toulouse
05 34 25 52 55
https://stephane-hessel.mon-ent-occitanie.fr
• Enseignement : public
• Durée de formation : 3 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : internat fille garçon
• Début : 01/09/2023
• Fin : 30/06/2026