[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
master mention économétrie, statistiques
master mention économétrie, statistiques
Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'Etat
Fiches métiers
C1202 - Analyse de crédits et risques bancaires
M1403 - Études et prospectives socio-économiques
Métiers
- chargé/e d'études économiques
À l'aise avec les chiffres
Entre statistiques industrielles, indices économiques et modèles mathématiques... le chargé d'études économiques étudie les chiffres sous tous les angles. Il aime les analyser et les manipuler, avec l'aide d'outils informatiques.
Curieux, intuitif, convaincant
Sans cesse à l'affût d'une information, cet analyste doit avoir un esprit de synthèse, afin de rapprocher des données dispersées et d'en tirer une analyse pertinente. Son intuition lui permet de se forger une conviction par-delà les chiffres. Il est à l'écoute des besoins des responsables de son entreprise afin de leur communiquer rapidement tout élément intéressant. Des qualités d'expression écrite et orale sont donc nécessaires : pour que ses messages soient compris, ils doivent être clairs.
Doté de connaissances techniques
Le chargé d'études économiques utilise des outils statistiques et de gestion de base de données (comme SAS, par exemple). La pratique de l'anglais est indispensable, notamment dans le domaine de la finance.
Entreprises et administrations
Le chargé d'études économiques exerce dans les services économiques d'organismes variés : groupes industriels ou commerciaux, banques et compagnies d'assurances, syndicats et organisations professionnelles, instituts de conjoncture, sociétés de conseil, chambres de commerce et d'industrie, chambres d'agriculture, agences de développement économique, organismes publics comme l'Insee (Institut national de la statistique et des études économiques), ministères et régions.
Diverses fonctions
Il peut être rattaché à un directeur des études ou à la direction générale de l'entreprise. Dans un organisme public comme l'Insee, différents concours existent pour devenir contrôleur, attaché statisticien ou administrateur.
Nombreux contacts
Une fois en poste, le chargé d'études participe à des réunions en interne comme en externe pour expliquer et vulgariser les résultats de ses recherches. Ce fin observateur n'est pas toujours plongé dans les chiffres. Il va puiser des informations à l'extérieur et circule beaucoup dans son entreprise pour en connaître tous les rouages.
S'informer et deviner
Dans quels pays un groupe peut-il s'implanter et quels sont les risques ? Allons-nous connaître une période de récession ? Ces questions complexes exigent des analyses approfondies. Le chargé d'études économiques s'efforce d'y répondre en étudiant les statistiques, en construisant des modèles économiques sophistiqués et en produisant des extrapolations. Surtout, il dispose d'une culture économique bâtie sur des lectures, des rencontres et des voyages, qui l'aide à pressentir des évolutions que les chiffres ne révèlent pas.
L'économie au quotidien
Le chargé d'études économiques dispose de sources d'information qu'il alimente ou utilise régulièrement : presse économique, bases de données statistiques, enquêtes et rapports, relations avec des instituts de conjoncture, des centres de recherche, des fédérations professionnelles... À partir de ses analyses, il publie des notes et des études, ou intervient à l'oral. Analyses de coûts ou de prix, études de marché ou de financement, prévisions de risques financiers font partie de ses travaux.
Travail de veille
La fonction implique un important travail de veille et de repérage. Il faut collecter de nombreuses informations et données chiffrées avant de les interpréter. Rédiger une étude exige un travail de fond.
Accès
Économie, mathématiques, statistiques et informatique constituent la base d'une formation d'économiste. Un master universitaire ou un diplôme de grande école est nécessaire.
Niveau bac + 5
Master en économétrie ; en modélisation économique ; en intelligence économique ; en ingénierie économique
Diplôme d'école supérieure de commerce avec spécialisation en économie
Diplôme d'école d'ingénieurs avec spécialisation en économie et statistique, économie industrielle ou économie agricole
- chargé/e d'études en marketing
Goût des chiffres
On pourrait penser que le chargé d'études en marketing est surtout un communicant. En fait, il vit en permanence dans le monde des chiffres et des statistiques, surtout depuis l'explosion des big datas. Expert en gestion et en compréhension d'outils marketing (principalement digitaux), il maîtrise les techniques de collecte et de traitement des informations (statistiques, bases de données, etc.). Une compétence qui nécessite un grand sens de l'organisation, de la méthode et beaucoup de rigueur. À noter que la pratique de l'anglais est requise dans les entreprises internationales.
Attention et force de conviction
Ses capacités d'observation, d'analyse et de synthèse doivent impérativement être complétées par un pouvoir de conviction et d'argumentation afin de valoriser la justesse de ses conclusions. Habitué à communiquer et à échanger, il doit savoir argumenter auprès de divers interlocuteurs et faire valoir son travail. Impossible de réussir à ce poste sans une solide aisance relationnelle et le goût du travail en équipe. La fibre commerciale est également un atout pour convaincre sa direction ou ses clients de lui commander une étude.
Polyvalent ou spécialisé
Les activités du chargé d'études en marketing varient en fonction de son lieu d'exercice. Il peut s'occuper de l'ensemble des données concernant un marché (eaux minérales, lessives...) ou au contraire se spécialiser dans les études de prix, les statistiques... Il peut exercer dans une entreprise (grande distribution, biens de grande consommation, e-commerce...), dans une agence de conseils en marketing, en communication ou un institut d'études et de sondages.
Avec des ressources en interne...
Ses interlocuteurs sont multiples. Dans l'entreprise, il collabore avec la direction, les équipes commerciales et marketing (dites " équipes de terrain "), les services de publicité et de communication, ainsi que la direction informatique pour la gestion des bases de données, de plus en plus importantes dans son travail. En fonction du produit à étudier, il peut aussi consulter le service R&D (recherche et développement), celui de la qualité ou d'autres.
... ou en externe
Hors de l'entreprise, le chargé d'études en marketing peut travailler avec des sociologues et des enquêteurs, les instituts de sondages, les agences de publicité, les centres de documentation et les services d'études statistiques. De cette façon, il est toujours au fait des nouvelles tendances de consommation.
Analyser la demande
Création fromagère ou nouveau dentifrice : le lancement d'un produit ne se fait jamais au hasard. Toute nouvelle mise sur le marché est un pari. Pour en limiter les risques, le produit doit correspondre aux attentes des consommateurs. C'est précisément là qu'intervient le chargé d'études en marketing. Sa première tâche consiste à analyser la demande afin de choisir la bonne stratégie et les bons outils. Cela lui permet de faire une proposition d'étude en n'oubliant pas de chiffrer son coût et d'en définir le planning.
Définir les outils
Enquêtes, échantillons, entretiens qualitatifs et quantitatifs, réunions de groupes, analyses de données démographiques ou encore visites en magasin : le chargé d'études en marketing a de nombreuses possibilités pour sonder les clients potentiels, étudier leurs comportements d'achat et examiner la concurrence. Selon le cas, il en utilise un ou plusieurs, choisit le panel de sondés, établit les questionnaires...
Synthétiser les résultats
Le chargé d'études en marketing est aussi à l'aise avec les chiffres (pour analyser statistiques et autres données chiffrées) qu'avec les personnes. Il devra restituer les résultats de son étude par écrit et/ou à l'oral. Son travail est souvent crucial dans la stratégie commerciale de l'entreprise.
Accès
La sphère du marketing est très exigeante. En deçà de bac + 5, les débouchés sont rares. Les stages de fin d'année sont souvent une bonne manière de se faire recruter.
Niveau bac + 5
Diplôme national de master mention marketing, vente ; mention économétrie, statistiques
Diplôme d'école supérieure de commerce et de gestion spécialisé en marketing
Diplôme d'IEP spécialisé en marketing
Diplôme d'ingénieur spécialisé en études statistiques
- data manager
Informatique et statistique
Le data manager doit être rompu aux mathématiques, algorithmes et statistiques, et maîtriser les outils informatiques spécifiques à la gestion de bases de données. Mais, au-delà de ces bases scientifiques, le poste de data manager évolue de plus en plus vers la stratégie.
Une bonne connaissance du secteur
Selon le secteur vers lequel il s'oriente, le data manager devra, outre un solide socle de connaissances techniques, avoir des bases en marketing, commerce, vocabulaire médical ou bancaire... Les doubles profils sont particulièrement recherchés. Cette polyvalence peut s'acquérir à travers l'expérience, les stages ou la formation en alternance.
Pédagogie et discrétion
Pour les phases d'analyse des résultats et de restitution, le data manager doit faire preuve de clarté et d'un grand esprit de synthèse. Il est important qu'il se mette à la portée de ses interlocuteurs, qui peuvent être très variés. Son aisance devra être réelle, à l'oral comme à l'écrit. Par ailleurs, dans la mesure où il traite souvent des informations stratégiques pour l'entreprise, il doit savoir faire preuve d'une grande discrétion, en interne comme à l'extérieur de son travail.
Salarié ou consultant
Les yeux rivés sur des écrans, le data manager travaille seul ou en équipe, en fonction de la taille de l'entreprise et du périmètre de son poste, qui peut varier énormément d'une organisation à l'autre. Il peut également être consultant extérieur ou salarié d'une société de conseils spécialisée.
Manager d'équipe
Dans certains cas, il sera à la tête d'une équipe pouvant inclure, par exemple, un ou plusieurs data miners, chargés d'identifier de nouvelles informations, des statisticiens pour les extractions et les analyses... Chef d'équipe, son travail sera alors davantage orienté sur la stratégie, la planification et le management que sur la gestion et l'exploitation des données.
En relation avec de nombreux services
Dans tous les cas, le data manager est en contact régulier avec les services marketing, commercial, financier et avec la direction de l'entreprise. Selon le cas, il est rattaché à la direction informatique ou au département marketing. Les réunions sont assez fréquentes. Dans le secteur de la santé, le data manager travaille en collaboration avec des chercheurs, des bio-informaticiens...
Un spécialiste " big data "
Le data manager identifie, recueille et organise dans une base, les données vitales d'une entreprise (références clients, données produits et fournisseurs, résultats d'études cliniques...) afin de les rendre " parlantes ".
Une attention constante
À lui de trouver les meilleures solutions techniques pour recueillir, structurer et analyser ces précieuses données. Responsable de la qualité et de la sécurité des fichiers, il veille, au quotidien, à l'enrichissement des bases de données, les nettoie en traquant les doublons, par exemple, met à jour et établit un descriptif précis des informations disponibles pour les différents services de l'entreprise. Il peut également être amené à établir des modèles statistiques, ou à faire des extractions et des analyses, en fonction des demandes.
Une dimension stratégique
Mais son rôle est également stratégique. Il doit anticiper les changements dans son secteur d'activité, récolter de nouvelles données, effectuer des extractions, générer des statistiques ou mettre en cohérence différentes sources pour mettre en lumière tel ou tel phénomène. Dans le secteur médical, le data manager participe à un projet de recherche en gérant, notamment, les données d'études cliniques.
Accès
La demande pour ce métier se situe essentiellement à bac + 5. Cependant, la pénurie de spécialistes big data laisse une chance aux titulaires d'un bac + 3 qui auront acquis de l'expérience et/ou une double compétence, notamment grâce aux formations en alternance ou aux stages longs. En effet, des connaissances en marketing ou dans le secteur d'activité convoité peuvent faire la différence.
Niveau bac + 3
BUT statistique et informatique décisionnelle
Licence professionnelle mention métiers du décisionnel et de la statistique, spécialisée en data mining (traitement de l'information pour la décision)
Niveau bac + 5
Master mentions économétrie, statistiques ; mathématiques appliquées, statistiques ; informatique ou MIAGE spécialisé en gestion de données, traitement de l'information pour la décision...
Diplôme d'ingénieur spécialisé en statistique ou en data management
- data scientist
Maîtrise des outils
Apache Hadoop et Spark, Map Reduce, bases de données NoSQL, langage de programmation SAS, R, Python... Le data scientist doit maîtriser de nombreux programmes informatiques pour mener à bien la collecte, l'analyse et la restitution des données. La programmation, les mathématiques appliquées et en particulier les statistiques n'ont pas de secret pour lui.
Gestion de projets et d'équipes
On demande souvent au data scientist de gérer et de conduire des projets. Il doit donc être à l'aise avec la communication orale et écrite, le suivi d'équipes et l'animation de réunion. Pédagogue, il sait se mettre à la portée de ses interlocuteurs et sait convaincre. On pourra aussi lui demander de gérer un budget et/ou d'évaluer le coût de ses interventions.
Force de proposition
Méthodique et organisé, il travaille généralement en mode projets, pouvant durer de quelques semaines à quelques mois. Il doit aussi être force de proposition et apporter des solutions pour une meilleure collecte des données par exemple, l'achat de nouveaux outils, etc. L'anglais technique est indispensable, notamment pour suivre les évolutions techniques dans son secteur qui lui permettront de proposer de nouveaux modèles d'analyse, des présentations lisibles par tous, etc.
Travail d'équipe
Selon la taille et la structuration de l'entreprise, le data scientist travaille sur l'ensemble de la chaîne des données, depuis la collecte jusqu'à la restitution, ou seulement sur la partie analyse. Il est alors entouré de data analysts, chargés de données spécifiques (marketing, ressources humaines, achats, etc.) ou d'une source particulière (internet, base de données...), et du data miner plus orienté sur l'identification des données pertinentes. Dans tous les cas, il travaille avec les chefs de projets et les métiers de l'entreprise impliqués dans son analyse.
Sur ordinateur
Le data scientist passe beaucoup de temps sur ordinateur, mais rencontre aussi ses collègues pour comprendre leur demande et leur problématique, identifier les sources des données, expliquer pourquoi et comment les collecter et sous quelle forme.
Position centrale
Le data scientist occupe une place centrale au sein de l'entreprise dont il peut influer la politique grâce à ses analyses et recommandations. Selon le cas, il travaille sur la gestion des risques, la fidélisation des clients ou encore les campagnes marketing. Il peut être rattaché à la direction générale, à la direction des systèmes d'information, à la direction du marketing stratégique ou encore à la direction des études.
Aide à la décision
Le data scientist est missionné par un service ou la direction de son entreprise pour collecter, organiser et exploiter des données (aussi appelées big data à cause de leur nombre). Les entreprises ont désormais de grands volumes de données à disposition. Le data scientist les " fait parler " afin d'apporter des éléments d'aide à la décision.
Maîtrise des données
Son travail commence par l'analyse de la demande : exploiter des données industrielles pour une meilleure productivité, améliorer la qualité ou faire de la maintenance préventive en analysant les pannes... Souvent, le data scientist travaille sur les données des clients ou des données publiques à des fins marketing. Il récupère les plus pertinentes sur des serveurs, des fichiers, des bases de données, etc. et les " nettoie ", pour les mettre au bon format ou éliminer celles qui sont inexploitables.
Restitution accessible
Vient ensuite la modélisation et la création d'algorithmes pour croiser et analyser les données. Des essais et ajustements sont nécessaires durant cette phase. La restitution des résultats se fait sous forme de rapports, de graphes, de tableaux ou d'applications. Le data scientist est chargé de l'ensemble de ces tâches dans lesquelles il est aidé par d'autres professionnels des datas, de graphistes, etc.
Accès
Le data scientist est recruté au niveau bac + 5 au minimum. Une première expérience, par exemple de data analyst, est souvent demandée. La connaissance d'un secteur d'application (industrie, médical, assurance, finance, etc.) est un plus qui peut s'acquérir au cours d'un stage long.
Niveau bac + 5
Master : datamining, statistiques, informatique, MIAGE, big data et fouille de données, data science, big data, données et systèmes connectés, machine learnng et data mining, mathématiques et applications, mathématiques appliquées statistiques, sciences des données, mathématiques et informatiques appliquées...
Master of science spécialisé data, statistiques et marketing, informatique statistique, etc.
Diplôme d'ingénieur avec double compétence en mathématiques et informatique ou spécialisation big data.
- économètre statisticien/ne
Scientifique de haut niveau
Expert en mathématiques et statistiques, l'économètre statisticien connaît bien le secteur d'activité dans lequel il évolue, afin de pouvoir formuler les bonnes hypothèses et apporter des réponses adaptées. Rigoureux, passionné de chiffres, mais possédant aussi des compétences à l'oral et à l'écrit, il sait se mettre à la portée de ses interlocuteurs, grâce à son sens de l'écoute et de la pédagogie.
Curieux et intuitif
L'économètre statisticien se tient en permanence à jour des évolutions économiques dans le secteur dans lequel il évolue. Intuition, sens de la persuasion, mais aussi maîtrise de l'anglais et des logiciels spécialisés dans le traitement des données statistiques lui sont indispensables.
Devant son ordinateur
L'économètre statisticien est un sédentaire qui travaille essentiellement devant son ordinateur, dans les services économiques des entreprises industrielles et commerciales, ou dans des organismes publics comme l'Insee.
Collecter et étudier les données
Ce professionnel réalise aussi un important travail de veille et de repérage. Pour cela, il collecte de nombreuses données économiques et chiffrées, dans ou à l'extérieur de son entreprise, à partir desquelles il rédige des études qui exigent rigueur et précision.
Aide à la décision
Que ce soit pour des secteurs comme la finance, la banque, la grande distribution, l'industrie pharmaceutique, l'énergie, la santé... l'économètre statisticien simule des process, crée des outils de modélisation, anticipe, repère et planifie les tendances et les fluctuations futures, en vue de réaliser des applications économiques et financières, tant au niveau national qu'international, en s'appuyant sur les mathématiques et les statistiques. Objectif : fournir des prévisions capables d'influencer des choix de marchés ou d'implantation d'entreprises, ainsi que des décisions politiques.
Au plus près des données
À partir d'une commande sur un projet donné, il pose une hypothèse pour expliquer les données qu'il va étudier et analyser avant de les modéliser. Au terme de son expérience, l'économètre statisticien constate les écarts entre la théorie et la réalité des chiffres et des données qu'il aura croisés, et en fait part aux différents services (R & D, marketing...) impactés.
Vérifier ses hypothèses
Avant de soumettre ses résultats, l'économètre statisticien s'attache à faire des tests pour être sûr que son hypothèse de départ se vérifie. Sinon, il devra recommencer en apportant de nouvelles spécifications au modèle.
Accès
Le métier d'économètre statisticien est accessible après des études scientifiques de haut niveau.
Niveau bac+5
Master mention économétrie, statistiques ; mention mathématiques ; mention mathématiques appliquées, statistique
Diplôme d'ingénieur
- souscripteur/trice
Vigilance et anticipation
Gérant des contrats d'un montant élevé, ce professionnel doit faire preuve d'une grande vigilance. Quand il étudie le dossier d'un client, il lui faut repérer les paramètres qui peuvent s'avérer lourds de conséquences pour l'assureur. Il doit être capable de se projeter dans l'avenir et d'anticiper les éventuels sinistres, pour trouver l'équilibre entre la prudence et l'intérêt commercial de sa société.
Connaissances techniques
Établir un contrat pour une entreprise industrielle suppose de mener des recherches techniques sur ses activités. Un souscripteur ayant des connaissances pointues dans tel ou tel domaine sera plus à l'aise pour évaluer les risques auxquels son client peut être confronté, et donc plus efficace. Dans le cas contraire, il devra solliciter l'avis d'experts.
Négociation et information
Le souscripteur doit maîtriser l'art de la négociation. Il consacre également une bonne partie de son temps à justifier ses choix, arguments à l'appui. Il joue un rôle d'interlocuteur auprès des intermédiaires (agents généraux, courtiers) comme des assurés, qu'il doit pouvoir renseigner sur leurs contrats.
Un travail de bureau
Salarié d'un cabinet de courtage, d'une société d'assurances ou d'un agent général, le souscripteur passe une grand part de son temps sur ses dossiers, à analyser minutieusement les risques. Il exerce donc un travail de bureau, mais échange avec de nombreux interlocuteurs.
Des décisions prises en collaboration
Pour statuer sur le cas d'un client potentiel, le souscripteur s'appuie sur les éléments fournis par l'inspecteur vérificateur et rencontre éventuellement les agents du réseau de sa compagnie d'assurances pour compléter ses informations sur l'entreprise à assurer. Il échange aussi avec les courtiers et d'autres souscripteurs de sa compagnie. Une fois son accord donné, il tient compte de la politique globale de l'assureur qui l'emploie pour fixer la tarification des cotisations dues par le professionnel.
Des déplacements ponctuels
Pour cerner au mieux les activités professionnelles des potentiels assurés et se faire une idée des risques à garantir, il arrive parfois qu'il se déplace lui-même sur le terrain.
Évaluer les risques
Sa première mission : estimer les risques qu'il fait courir à sa compagnie en acceptant de prendre en charge tel ou tel client (le plus souvent un professionnel du secteur industriel ou agricole). Pour ce faire, il étudie avec soin le dossier du candidat et fait appel à des inspecteurs vérificateurs pour visiter les sites (ateliers, usines, chantiers de construction, bâtiments agricoles...). Enfin, il accepte ou non de garantir le risque, en argumentant les motifs d'un éventuel refus.
Définir les termes du contrat
Le souscripteur supervise également la rédaction des contrats : il adapte les clauses standard, habituellement proposées par sa société, pour faire du sur-mesure. Il fixe aussi les conditions de garantie (plafond, franchise...) et calcule le montant des primes à payer par l'assuré. Éventuellement, il demande au client d'adopter des mesures préventives pour limiter les risques qu'il encourt.
Assurer un suivi
Une fois le contrat signé, il participe activement à son suivi. Si les données changent en cours de route, par exemple si l'activité du professionnel assuré se développe à l'international, il procède aux ajustements nécessaires et rajoute des clauses au contrat.
Accès
Diplôme d'école supérieure de commerce et de gestion, diplôme d'ingénieur, master en droit des assurances, diplôme d'actuaire... permettent d'accéder au métier de souscripteur. Mais pas forcément dès la sortie des études. La meilleure stratégie pour se faire recruter ? Se doter d'une seconde compétence (par le biais d'un diplôme) ou acquérir une petite expérience professionnelle dans un secteur en rapport avec les clients que l'on sera amené à assurer. Pour un poste de souscripteur junior, une licence professionnelle peut suffire.
Niveau bac + 3
Diplôme de l'École supérieure d'assurances (ESA) (bachelor assurances)
Licences pro assurance, banque, finance
Niveau bac + 5
Diplôme d'école supérieure de commerce et de gestion
Diplôme de l'École nationale d'assurances (ENASS) ou de l'Institut des assurances
Diplôme d'université (DU) droit des assurances
Diplôme d'ingénieur ou d'actuaire
Master droit des assurances ; actuariat ; monnaie, banque, finance, assurance ; économétrie, statistiques ; mathématiques appliquées, statistique
- statisticien/ne
Les chiffres... et les lettres
Le statisticien aime les chiffres, mais pas seulement ! La multiplicité des domaines dans lesquels il est susceptible d'intervenir requiert une grande curiosité et ouverture d'esprit. Son esprit logique et sa faculté à synthétiser lui permettent par ailleurs d'élaborer des conclusions.
Pédagogue
Mathématicien dans l'âme, le statisticien doit malgré tout être capable de simplifier ses résultats afin de les mettre à la portée des non-initiés. À ce titre, la pédagogie fait partie de ses principales qualités. C'est également un homme de contact qui apprécie le travail en équipe.
Technicien
Il maîtrise l'outil informatique et les différents logiciels qui lui permettent de construire l'étude. Par ailleurs, il maîtrise l'anglais, et plus particulièrement l'anglais technique propre à son domaine.
Sur tous les fronts
On rencontre des statisticiens partout où il y a des chiffres, comme les grandes entreprises, les sociétés de services et de conseil, les banques et les assurances, les organismes publics... Ils y conçoivent et réalisent des enquêtes, traitent et analysent des informations socio-économiques.
Selon les spécialités
Dans un laboratoire pharmaceutique, où on le retrouve sous l'appellation « biostatisticien », il est notamment chargé de collaborer aux essais cliniques depuis la mise au point d'un protocole jusqu'à l'analyse des données. « Actuaire » dans le domaine des assurances, il évalue les risques et examine les conséquences financières pour les comptes futurs.
Plus statique que physique
Quel que soit son domaine d'intervention, le travail du statisticien demeure le même. Contrairement aux idées reçues, il ne se déplace pas sur le terrain pour collecter les données. Il confie ce travail à une équipe composée d'assistants. L'essentiel de son activité repose sur l'utilisation de logiciels informatiques de plus en plus sophistiqués.
Collecte
Enquête marketing, sondage d'opinions, essai clinique ou thérapeutique, contrôle de la qualité de la peinture appliquée sur des voitures neuves, etc. Quel que soit son sujet d'étude, le statisticien commence par collecter les informations et les chiffres qui l'intéressent en établissant un questionnaire ou une grille d'évaluation.
Encadrement
Il décide ensuite de la méthodologie à adopter (sondage par téléphone, par Internet, par courrier) et met en place une équipe composée d'assistants et d'enquêteurs.
Des chiffres à faire parler
Une fois les informations recueillies, le statisticien doit les traiter. Pour ce faire, il utilise des logiciels informatiques très performants. À lui d'analyser ensuite les courbes ou graphiques obtenus, et d'effectuer un travail de synthèse. La dernière étape de son travail consiste à présenter ses résultats au commanditaire de l'étude afin de l'aider dans sa prise de décision.
Accès
Les grandes écoles spécialisées sont la voie royale pour devenir statisticien. Mais d'autres formations, courtes ou universitaires, sont également envisageables.
Niveau bac + 3
Licence mention économie et gestion, mention mathématiques et informatique appliquées aux sciences humaines et sociales (MIASHS)
Licence pro mention métiers du décisionnel et de la statistique
BUT statistique et informatique décisionnelle
Niveau bac + 5
Master mention économétrie, statistiques ; mention mathématiques appliquées, statistiques ; mention mathématiques et applications, mention mathématiques...
Diplôme d'une des 3 écoles de statistique : Ensae (École nationale supérieure de l'administration économique), Ensai (École nationale de la statistique et de l'analyse de l'information) ou Isup (Institut de statistique de l'université Pierre et Marie Curie)
- statisticien/ne en analyse sensorielle
Statistiques et informatique
Le statisticien en analyse sensorielle doit maîtriser les techniques d'analyse de type classification/segmentation et de régression. Il doit également savoir programmer car il peut être amené à adapter ou développer certains programmes informatiques.
À la portée de tous
Il doit également être capable de travailler en équipe avec des personnes qui ne sont pas nécessairement de son univers, comme des chefs de projet marketing ou des ingénieurs, par exemple. Il est important qu'il sache se mettre à la portée de non-spécialistes des statistiques.
Branché sur son secteur
Il devra également avoir une bonne connaissance du secteur d'activité dans lequel il travaille et effectuer une veille pour rester à la pointe de l'innovation en ce qui concerne les différents programmes et techniques notamment.
Un travail d'équipe
Le statisticien en analyse sensorielle travaille en équipe. Il peut exercer soit dans le service de recherche et développement de l'entreprise, soit dans un service plus proche du département marketing, en binôme avec le chef de projet.
L'ordinateur mais pas seulement
Souvent devant son ordinateur pour récolter puis classer les données et les faire " parler ", le statisticien assiste également à des réunions avec les différents services et interlocuteurs de l'entreprise.
Fournir des données objectives sur les propriétés des produits
Il est difficile pour la plupart d'entre nous d'expliquer précisément pourquoi nous aimons ou nous n'aimons pas un produit. Couleur, odeur, texture, goût : autant d'éléments qui intéressent le statisticien en analyse sensorielle, car sa mission est de fournir aux services marketing des données objectives et quantifiables sur nos attirances ou nos rejets.
Établir des critères pertinents
Le statisticien croise et analyse les informations qui remontent des enquêtes de consommateurs. Ceux-ci sont soumis à une grille de questions élaborée en collaboration avec des experts qui ont établi à l'avance des profils sensoriels afin d'uniformiser les réponses.
Classer et caractériser les produits
Ces études permettent au statisticien d'établir une cartographie (ou " mapping ") des préférences des consommateurs, c'est-à-dire une classification et une caractérisation des produits grâce à leur description sensorielle. Les résultats de ces travaux permettent ensuite aux responsables des différents services concernés de prendre des décisions quant à l'amélioration et à la commercialisation de tel ou tel produit.
Accès
Le statisticien en analyse sensorielle est généralement titulaire d'un diplôme en statistique ou mathématiques appliquées. Une double compétence en marketing, par exemple, constitue un plus.
Niveau bac + 5
Master mention mathématiques ; mention économétrie, statistique ; mention mathématiques appliquées, statistiques ; mention mathématiques et applications
Diplôme d'ingénieur en économie et statistique...
Etablissement
- Ecole d'économie et de sciences sociales quantitatives Toulouse31042
Unité de formation et de recherche
Ecole d'économie et de sciences sociales quantitatives
21 allées de Brienne
31042
Toulouse
05 61 63 36 90
• Enseignement : public
• Durée de formation : 2 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : externat fille garçon
• Début : 01/09/2023
• Fin : 30/06/2025