[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
bac pro Maintenance des matériels option A matériels agricoles
bac pro Maintenance des matériels option A matériels agricoles
Ministère chargé de l'Éducation nationale et de la Jeunesse
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'État
Ce bac pro forme à entretenir et réparer les matériels agricoles : tracteurs, matériels de labour, semoirs et planteuses, moissonneuses, matériels d'étables ou d'irrigation...
L'élève acquiert les connaissances techniques nécessaires en mécanique, électricité, thermodynamique pour effectuer des travaux de maintenance ou de réparation sur ce type d'appareils. Grâce à l'utilisation d'outils de diagnostic, il apprend à identifier les causes de dysfonctionnement des machines, en cas de panne, ainsi qu'à effectuer la maintenance périodique du matériel (vidanges, graissage, contrôle des pièces...).
Autre compétence développée pendant la formation : conseiller les utilisateurs, les clients, en matière de sécurité, d'entretien, d'utilisation, d'achat de matériels agricoles.
Cette option forme des techniciens dont la mission consiste à entretenir et réparer les matériels agricoles : tracteurs, matériels de labour, semoirs et planteuses, moissonneuses, matériels d'étables ou d'irrigation...
Les élèves de ce bac pro se présentent obligatoirement aux épreuves du CAP Maintenance des matériels option matériels agricoles (facultatif pour les apprentis).
Accéder à l'option matériels de construction et de manutention
Accéder à l'option matériels d'espaces verts
Descriptif
Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de 3e. Les élèves entrent en classe de 2de professionnelle Métiers de la maintenance des matériels et des véhicules en vue de préparer cette spécialité du bac pro.
L'accès est différent pour les élèves en apprentissage qui entrent directement dans cette spécialité de bac pro sans passer par une 2de pro "famille de métiers".
Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.
Poursuite
Ce bac professionnel débouche sur la vie active mais il est possible, sous certaines conditions, de poursuivre des études en 2 ans en BTS ou BTSA...
Poursuite formation
Métiers
- conducteur/trice de machines agricoles
Un sens technique
Le conducteur de machines agricoles doit bien connaître l'engin afin d'en tirer le meilleur rendement et pouvoir faire de petites réparations et l'entretien courant. Il peut effectuer les programmations et paramétrages de base. Il doit aussi analyser le terrain et la mission qui lui est confiée pour l'accomplir au mieux et dans les temps. Une bonne connaissance du milieu agricole est donc nécessaire.
De l'autonomie
Sens de l'observation, respect des règles d'hygiène et de sécurité sont indispensables pour le conducteur de machines agricoles. Il doit être autonome et avoir le sens des responsabilités, être capable de prendre des décisions rapides lorsqu'un problème se déclare. Il doit aussi savoir rendre compte de son travail à son responsable comme à l'exploitant.
Adaptation et organisation
Passionné par le matériel, le conducteur de machines agricoles possède des compétences en mécanique, en soudure... ainsi qu'un bon relationnel avec les exploitants agricoles, dont il est le premier interlocuteur. Dans les champs, il représente son employeur quand il travaille pour un prestataire de services. S'il est seul à bord, il peut travailler en équipe sur le terrain et à l'atelier. Il doit s'adapter rapidement à de nouveaux terrains, des machines et des tâches nouvelles. Il se forme régulièrement aux nouveaux engins ou fonctionnalités.
De nombreux employeurs
Le conducteur de machines agricoles peut être salarié ou indépendant dans une exploitation agricole de taille importante, une ETA (entreprise de travaux agricoles), une Cuma (coopérative d'utilisation de matériel agricole) ou une collectivité territoriale d'entretien des parcs et espaces verts.
Au rythme des saisons
Pas de routine pour le conducteur d'engins. Il module ses activités en fonction des saisons : épandage puis semis de blé à l'automne, en hiver et au printemps ; moissons en été ; semis de colza en septembre puis ensilage et moisson du maïs. À chaque activité sa machine, son terrain, son client. L'hiver est plus calme, ce qui lui permet de se former à l'utilisation de nouvelles machines, de faire les révisions des engins et leur entretien. À la pleine saison, le conducteur fait beaucoup d'heures, car la moisson ou les vendanges n'attendent pas !
Souvent seul mais pas isolé
Seul au volant de son engin, le conducteur peut toutefois travailler au sein d'une équipe de conducteurs et peut avoir besoin de ses collègues lors de certaines opérations comme l'épandage du fumier ou l'ensilage. Il doit également communiquer avec l'exploitant du terrain sur lequel il travaille et, le cas échéant, le technicien de maintenance ou le concessionnaire.
Une variété de machines
Le conducteur de machines agricoles conduit toutes sortes d'engins qu'il doit souvent acheminer jusqu'aux champs. Par exemple, un tracteur pour tirer la charrue ou déplacer le matériel d'irrigation des champs. Une ensileuse pour couper l'herbe ou le maïs de fourrage. Une moissonneuse-batteuse pour séparer tiges et grains... Il connaît leurs caractéristiques techniques et mécaniques et doit en assurer la programmation sur l'écran de bord, désormais intégré à tout nouvel engin.
L'entretien courant
Le conducteur doit s'assurer du fonctionnement optimum des équipements, et être capable d'effectuer des réparations courantes, mais aussi l'entretien, en hiver, lorsque le matériel est moins utilisé. Au programme : graisser, vidanger ou encore programmer le tableau de bord. Le cambouis et l'électronique embarquée ne l'effraient pas. En cas de problème important, il demande l'expertise d'un technicien de maintenance.
Une connaissance du terrain
Le conducteur de machines agricoles sait repérer les particularités d'une parcelle (taille, configuration, nature du sol). Il adapte les machines au type de travail demandé (labour, semis, épandage d'engrais, traitement, récolte, stockage...) et effectue les réglages nécessaires, comme par exemple la profondeur des sillons pour le semis.
Accès
La demande des entreprises en personnel qualifié et la technicité des nouveaux matériels tirent le niveau de formation vers le haut. La demande de CAP agricoles diminue au profit des bacs professionnels et parfois même des BTS ou BTSA. À signaler les CQP (certificats de qualification professionnelle) ouvrier qualifié conducteur d'engins agricoles ; ouvrier hautement qualifié conducteur d'engins agricoles.
Après la 3e
CAP agricole métiers de l'agriculture
CAP maintenance des matériels, option A matériels agricoles
Niveau bac
Bac professionnel agroéquipement
Bac professionnel maintenance des matériels
Niveau bac + 2
BTSA génie des équipements agricoles (GDEA)
BTS techniques et services en matériels agricoles (TSMA)
- mécanicien/ne de maintenance des matériels agricoles ou d'espaces verts
Évolution des techniques
Pulvérisateurs automatisés, tracteurs communicants avec systèmes embarqués, drones d'observation télécommandés : de plus en plus, l'assistance par ordinateur commande et contrôle les rouages. Les machines sophistiquées imposent de connaître l'électronique et l'informatique, autant que la mécanique, la pneumatique ou l'hydraulique. Le mécanicien de maintenance doit être polyvalent et curieux pour faire évoluer ses connaissances.
Une dose de débrouillardise
Autonome, le mécanicien de maintenance doit prendre le temps de comprendre la machine qu'il a devant lui et son problème. Il cherche toujours à apprendre du terrain pour augmenter ses compétences. La nouveauté ne lui fait pas peur si elle augmente son efficacité. Il veille à respecter les réglementations en matière de sécurité. Observateur, méticuleux, organisé, il s'adapte en permanence aux nouveaux clients, nouvelles pannes, nouveaux matériels. Une dose de débrouillardise est souvent nécessaire.
Un bon contact
Qu'il travaille en atelier ou au contact des clients, le mécanicien de maintenance doit avoir le sens du contact. Une grosse panne peut se résoudre à plusieurs et il ne faut pas hésiter à demander de l'aide et à partager ses connaissances. Il doit aussi être à l'écoute des utilisateurs pour comprendre ce qui s'est passé en cas de panne ou de problème récurrent. Le permis de conduire est souvent exigé pour être mobile et autonome.
Employeurs variés
Le mécanicien de maintenance peut travailler chez un vendeur ou un importateur de machines agricoles ou d'espaces verts. Il s'occupe alors de la mise au point du matériel neuf : montage, contrôle, essais... S'il travaille dans une entreprise de travaux agricoles, ruraux et forestiers, une coopérative d'utilisation de matériel agricole (Cuma) ou une collectivité, il sera plus tourné vers l'entretien et la réparation
Pas de routine
Ses activités sont variées : entretien courant, déplacement sur une exploitation ou un chantier de taille, réparations.... et peuvent durer 1 h comme 1 journée. Son travail est également rythmé par les saisons. En période de pointe, les déplacements sont fréquents et les horaires chargés. Il peut parfois être d'astreinte (le soir et le week-end) pour ne pas risquer de bloquer les travaux des champs ou un élagage en cours.
Seul ou en équipe
Dans les grosses structures, le mécanicien fait partie d'une équipe encadrée par un responsable d'atelier. Le travail d'équipe est important, notamment pour partager les informations et connaissances. Le mécanicien bénéficie cependant d'une grande autonomie dans son activité et peut être amené à côtoyer les utilisateurs des engins, notamment pour la partie réglage.
Entretien et petites réparations
Graissage, vidange, changements de pièces usées ou défectueuses, révisions générales sont les tâches principales du mécanicien de maintenance, particulièrement en hiver lorsque les machines sont davantage au repos. À partir du printemps, selon la structure dans laquelle il travaille, il peut se déplacer pour aller effectuer des dépannages en urgence.
Sur les machines agricoles
Tracteur, moissonneuse-batteuse, trayeuse... le mécanicien entretien un large parc de machines sur lesquels il se forme constamment, au rythme des évolutions techniques. Les automatismes et les systèmes embarqués étant de plus en plus présents dans les engins agricoles, le mécanicien de maintenance les paramètre et reprogramme en fonction des besoins de son client. Pendant les travaux des champs, il se tient prêt à intervenir en urgence pour un dépannage, afin de ne pas bloquer la récolte.
Sur les matériels d'espaces verts
Motoculteur, tondeuse, taille-haie ou encore tronçonneuse sont les appareils que le mécanicien de maintenance des matériels d'espaces verts doit entretenir ou réparer au fil de l'année. Il contrôle chaque pièce avant de rendre l'appareil à son propriétaire, afin que celui-ci puisse travailler en toute sécurité.
Accès
La technicité des machines tire le niveau de qualification vers le haut. Les employeurs cherchent en priorité des candidats de niveau bac + 2 .
Après la 3e
CAP maintenance des matériels options matériels agricoles ; matériels d'espaces verts
Niveau bac
Bac professionnel maintenance des matériels options matériels agricoles ou matériels d'espaces verts ; agroéquipement
BP agroéquipement, conduite et maintenance des matériels
BPA travaux de conduite et entretien des engins agricoles (TCEEA)
Niveau bac + 2
BTSA génie des équipements agricoles (GDEA)
BTS techniques et services en matériels agricoles (TSMA)
- responsable du service après-vente
Sens de l'écoute
Le responsable du SAV (service après-vente) comprend les difficultés rencontrées par ses collaborateurs et propose son aide quand la situation l'exige. Quand un client est mécontent, il trouve les mots qui apaisent et surtout la solution concrète qui va lui redonner le sourire.
Organisation rigoureuse
Rigoureux et méthodique, il sait gérer son service. Répartition des charges de travail et des astreintes, gestion des stocks, contrôle des factures... rien ne lui échappe. Soucieux d'améliorer l'efficacité de son service, il réfléchit à différentes solutions permettant d'aller dans ce sens.
Curiosité
Doté d'un solide bagage technique (en électronique, électrotechnique, mécanique...), il se tient au courant de l'évolution des produits dans son domaine, des nouveautés qui sortent sur le marché... Il s'intéresse à l'offre de la concurrence à un niveau national comme international.
Dans les grandes surfaces
On le trouve principalement dans les SAV (services après-vente) des grandes surfaces ou des réseaux spécialisés dans la distribution de matériel électronique grand public (audio, vidéo, multimédia, électroménager). Quelques enseignes ont fait de la qualité de leur SAV un argument de poids pour attirer et fidéliser une clientèle.
Dans les sociétés de maintenance
Le responsable SAV peut également trouver sa place au sein d'une entreprise de maintenance. Indépendante, cette dernière travaille pour un certain nombre de magasins ne disposant pas de leur propre service de dépannage. Il lui arrive enfin d'exercer ses talents en amont de la chaîne, autrement dit chez un fabricant de machines-outils ou chez un constructeur de biens d'équipement.
Sur le terrain
Son temps de travail se partage entre des heures de présence au bureau, de fréquentes visites à l'atelier de réparation et des déplacements sur site pour les grosses interventions. Ce n'est donc pas un métier sédentaire. De nombreux responsables disposent d'ailleurs d'une voiture de fonction.
Animer une équipe
Le responsable SAV (service après-vente) encadre l'équipe chargée de l'accueil des clients et de la réalisation du contrat après-vente (techniciens itinérants et sédentaires, agents d'accueil, personnel administratif...). Il élabore le planning, gère les absences, et organise régulièrement des réunions avec les chargés d'accueil et les techniciens de maintenance pour améliorer le service. Il participe au recrutement et à la formation du personnel, suit leur carrière (rémunérations, promotions...).
Améliorer la qualité
Il intervient dans le choix du matériel de dépannage et se porte garant de la qualité des interventions de ses collaborateurs. Son objectif : réduire les délais de réparation. Il signale aux fabricants les problèmes techniques rencontrés sur les produits et leur transmet les réclamations des utilisateurs.
Satisfaire le client
En cas de litige avec le client, il se retrouve en première ligne. Il écoute avec attention les doléances, évalue les responsabilités et propose une solution adaptée aux besoins de son interlocuteur. Pour les grosses pannes, il n'hésite pas à se déplacer chez le client pour prêter main-forte à ses techniciens.
Accès
Plusieurs bacs professionnels permettent d'acquérir une formation technique de base, à compléter par quelques années d'expérience et une initiation aux techniques de gestion et de management. Pour les produits high-tech, les employeurs recherchent plutôt des titulaires de BTS, voire de licences pro.
Niveau bac
Bac pro maintenance de véhicules ; maintenance des systèmes de production connectés ; cybersécurité, informatique et réseaux, électronique ; maintenance et efficacité énergétique.
Niveau bac + 2
BTS en électrotechnique ; maintenance ; conseil et commercialisation de solutions techniques
Niveau bac + 3
BUT techniques de commercialisation
Licence pro technico-commercial ; organisation et management des services automobiles
Niveau bac + 4
Diplôme des écoles supérieures de double compétence (réseau ESDC).
- technicien/ne de maintenance des matériels agricoles ou d'espaces verts
Polyvalent
Pulvérisateurs électroniques, tracteur à commandes numériques, drone d'observation, tondeuse programmable : les matériels sont de plus en plus sophistiqués et l'assistance par ordinateur remplace de plus en plus les rouages. Le technicien de maintenance des matériels agricoles ou d'espaces verts doit connaître l'électronique autant que la mécanique, la pneumatique ou encore l'hydraulique. Il doit être polyvalent et curieux pour faire évoluer ses connaissances. L'anglais technique peut être nécessaire, notamment pour le travail en concession pour une marque étrangère.
Rigoureux et responsable
La nouveauté ne lui fait pas peur, car il aime apprendre et acquérir de l'expérience sur le terrain. Il veille toujours à respecter les réglementations en matière d'hygiène et de sécurité pour lui, ses collègues et l'utilisateur. Observateur, méticuleux, organisé et autonome il sait prendre des décisions, estimer des délais et des coûts.
Un bon contact
Le technicien de maintenance doit avoir le sens du contact. Il est à l'aise pour communiquer à l'oral et à l'écrit. Il est également doté d'un bon esprit d'analyse et de synthèse. Ses qualités organisationnelles, relationnelles et commerciales sont appréciées.
Employeurs variés
Le technicien de maintenance des matériels agricoles ou d'espaces verts peut travailler chez un vendeur ou un importateur de machines agricoles ou d'espaces verts. Il s'occupe alors de la mise au point du matériel neuf : montage, contrôle, essais puis livraison et réglages chez le client. En cas de panne, il intervient le plus rapidement possible. S'il travaille dans une entreprise de travaux agricoles, ruraux et forestiers, une Cuma (coopérative d'utilisation de matériel agricole) ou une collectivité, il sera spécialisé en réparation.
Acteur de terrain
Acteur de l'avant-vente, le technicien connaît les matériels sur le marché et les besoins sur le terrain. Il se déplace souvent pour effectuer des réglages ou des réparations. Après chaque intervention, il s'assure que toutes les conditions de sécurité sont appliquées et respectées. Interlocuteur privilégié du client, il le conseille, propose une maintenance régulière, voire même un engin plus performant. Il représente la marque ou l'entreprise qui l'emploie.
Autonome et en équipe
Généralement seul lors de ses interventions, le technicien de maintenance travaille en équipe au niveau de l'atelier ou de son entreprise. Il est mobile et autonome. Dans certain cas, il peut faire des actions de formation ou réaliser des expertises techniques.
Maintenance et réparation
Le technicien de maintenance des matériels agricoles ou d'espaces verts se charge de la maintenance de machines complexes, d'essais de fonctionnement et de performance ou de réparations sur le terrain. Pour les matériels sans commandes numériques, il s'aide des informations fournies par le constructeur et l'utilisateur, avant de procéder à différents tests. Objectif : trouver l'origine du problème et poser un diagnostic. Il évalue également le temps nécessaire à la réparation. Il peut anticiper les interventions et négocier avec l'usager la date et la nature de la prestation nécessaire.
Diagnostic et programmation
Muni de son ordinateur portable, le technicien dialogue avec le système d'exploitation de la machine, du matériel ou de l'équipement en panne. Il effectue des tests, notamment sur les parties électriques et électroniques. Il lit la documentation technique, l'historique des pannes, etc. afin de remette l'engin en état de marche le plus vite possible, en s'assurant que la sécurité est respectée. Pour cela il pratique des essais, des mesures, etc. Sur les machines à commandes numériques, il interroge l'ordinateur de bord ou le reprogramme.
Conseil et formation
Auprès du client, le technicien représente une marque ou une entreprise spécialisée dans la maintenance. Il lui donne tous les renseignements nécessaires, rédige un rapport et donne des conseils d'utilisation, voire de petite maintenance. Il s'assure ainsi que le client utilisera correctement le matériel. Avec de l'expérience, le technicien peut aussi faire de la formation.
Accès
La technicité des machines tire le niveau de qualification vers le haut. Les employeurs cherchent en priorité des candidats de niveau bac + 2. Mais devant le manque de profils adéquats, les bacheliers professionnels ont leur chance, surtout après une 1re expérience.
Niveau bac
Bac professionnel maintenance des matériels, option A matériels agricoles ; option C matériels d'espaces verts ; agroéquipement
BP agroéquipement ; conduite et maintenance des matériels
Niveau bac + 2
BTSA génie des équipements agricoles (GDEA)
BTS techniques et services en matériels agricoles (TSMA)
- technicien/ne prototypiste en agroéquipement
Maîtrise technique
Le technicien prototypiste en agroéquipement doit maîtriser une ou plusieurs spécialités techniques selon les produits sur lesquels il travaille (électronique, mécanique générale, hydraulique, etc.) et avoir le sens pratique. De manière générale, il aime comprendre le fonctionnement des choses, il s'intéresse à la façon dont elles sont fabriquées pour pouvoir trouver de nouvelles solutions. Les touche-à-tout et les curieux, notamment des nouvelles technologies, sont privilégiés. La connaissance du secteur d'activité est également souhaitée.
Sociable et anglophone si possible
Il doit aussi être un bon communicant pour expliquer clairement ce qu'il souhaite lorsque, par exemple, il commande une pièce ou demande une rallonge de budget. Il n'est bien entendu pas rebuté par l'écrit, car il lui faut rédiger des rapports et noter les spécificités de son produit. La maîtrise de l'anglais est de plus en plus exigée, notamment dans les entreprises internationales.
Autonome et inventif
Même s'il est entouré et travaille en collaboration avec de nombreux professionnels de différents services, le prototypiste doit être autonome et organisé. Inventif, il n'hésite pas à innover pour trouver des solutions et contourner des obstacles.
Beaucoup de variétés
Le travail du technicien prototypiste en agroéquipement est varié, ainsi que ses lieux d'exercice. Il passe généralement un quart de son temps sur sa table à dessin ou son ordinateur et le reste à l'atelier pour la fabrication de pièces. Selon le prototype qu'il construit, il peut également se rendre sur le terrain lors des premiers tests en conditions réelles (sur un circuit automobile pour une voiture, dans un champ pour une machine agricole, etc.).
De nombreux interlocuteurs
S'il peut travailler seul, le technicien prototypiste est fréquemment en lien avec de nombreux professionnels : dessinateurs du bureau d'études, clients, chefs de produit, services achat, méthodes, production, etc. Chez un constructeur, il est souvent rattaché au service recherche et développement (R&D) avec lequel il collabore étroitement.
Des procédures précises
Il est parfois soumis à la pression des délais et des budgets qu'il doit respecter. Par ailleurs, dans l'industrie, les process tiennent une part très importante. Il doit les suivre à la lettre, notamment pour vérifier la conformité de son produit, ainsi que sa fiabilité.
Tout ou partie d'une machine
À partir des plans fournis par les ingénieurs recherche et développement (R&D) et du cahier des charges du service marketing, le technicien prototypiste en agroéquipement réalise concrètement la pièce, la nouvelle fonctionnalité ou l'objet, imaginé sur le papier par ses collègues. Il bénéficie d'une enveloppe budgétaire pour essayer différentes options, tester plusieurs matériaux ou variantes, et réaliser son objet.
De l'ordinateur à l'atelier
Une fois la conception de base réalisée sur ordinateur ou sur sa planche à dessin, le technicien passe à l'atelier pour la fabrication de son prototype, qu'il ajuste au fur et à mesure, souvent en collaboration avec ses collègues de R&D. Il commande les pièces techniques qu'il ne fabrique pas lui-même.
Jusqu'à la production en série
En général, il donne son prototype à tester à des personnes extérieures. Il suit de près ces essais et analyse les commentaires, pour améliorer son prototype. Il fait ensuite le lien avec l'industrialisation en travaillant étroitement avec les services méthodes et production pour expliquer comment il a construit son prototype, les difficultés rencontrées, etc. Il rédige des rapports avec toutes les spécificités de son produit afin que celui-ci puisse être adapté à l'échelle industrielle.
Accès
Le métier est accessible avec un diplôme de niveau bac + 2 et, en général, quelques années d'expérience, par exemple en maintenance ou service après-vente. Dans certains cas, le bac professionnel et l'expérience peuvent suffire.
Niveau bac
Bac pro maintenance des matériels, option A matériels agricoles ; agroéquipement
Niveau bac + 2
BTS techniques et services en matériels agricoles (TSMA) ; BTS du secteur de la mécanique, de l'électronique, de la maintenance...
BTSA génie des équipements agricoles (GDEA)
Etablissement
- Lycée agricoleOndes31330
Lycée agricole
Lycée agricole
rue Castelnau, Tournassou, BP 3
31330
Ondes
05 61 37 65 70
https://legta-ondes.mon-ent-occitanie.fr
• Enseignement : public
• Durée de formation : 3 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : internat fille garçon
• Début : 01/09/2024
• Fin : 30/06/2027