[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
master mention métiers du livre et de l'édition
master mention métiers du livre et de l'édition
Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'Etat
Fiches métiers
E1104 - Conception de contenus multimédias
K1601 - Gestion de l'information et de la documentation
K1602 - Gestion de patrimoine culturel
Métiers
- correcteur/trice
Culture générale
Au-delà de l'aisance rédactionnelle, de la parfaite maîtrise de la langue française et des règles typographiques, le correcteur doit avoir développé une réelle intelligence de l'écrit. En s'appuyant notamment sur sa grande culture générale : aucun diplôme n'est exigé pour exercer le métier, mais sans bagage suffisant, mieux vaut avoir suivi un cursus généraliste.
Goût de la précision
Le correcteur doit aussi accorder une importance quasi obsessionnelle au mot juste, en s'attachant à traquer l'expression incorrecte, la tournure trop alambiquée. Ce travail d'investigation demande de la curiosité, de la rigueur, un sens critique développé et requiert de grandes capacités d'attention et de concentration.
Capacités d'adaptation
Le correcteur connaît les contraintes propres au support (papier, audio, numérique), prend en compte la demande de l'employeur, le contexte, le produit de l'entreprise, le public ciblé, etc. Il suit la ligne éditoriale d'une maison d'édition ou de presse, il respecte les intentions et le style des rédacteurs. Une grande ouverture d'esprit, un côté créatif et, dans l'édition plus qu'ailleurs, beaucoup de sensibilité et de psychologie sont nécessaires. La pratique des outils informatiques est également un plus à ne pas négliger.
Des secteurs variés
Le correcteur peut exercer dans des secteurs très divers : édition, presse, communication, publicité, administration, Internet, télévision... Et sur des textes de natures très différentes : livres, journaux, revues, rapports, supports numériques ou audiovisuels... Cette variété n'implique pas toujours des responsabilités et des activités équivalentes, en témoignent les différentes appellations du métier (réviseur, rewriter...).
En entreprise ou chez soi
On imagine volontiers le correcteur devant sa copie, tranquillement installé chez lui, bardé de ses dictionnaires. Certes, la profession compte essentiellement des travailleurs « free-lance » exerçant à domicile pour le compte de différents clients. Mais certains professionnels, notamment dans le secteur de la presse, de l'édition et de la communication, travaillent toutefois en entreprise, au sein d'une équipe de rédaction.
Urgence et précarité
Tous les correcteurs ont cependant des délais très courts à respecter, et quand ils ne sont pas salariés, des conditions d'emploi précaires. Souvent rémunéré à la tâche, au nombre de signes par heure, le correcteur doit se faire connaître pour espérer percevoir un salaire convenable. Il n'est pas non plus le solitaire qu'on pourrait croire. Ses partenaires sont multiples : éditeurs, rédacteurs, auteurs, traducteurs... et les négociations sont parfois âpres.
Objectif zéro faute
C'est le « contrôleur qualité » des textes. À ce titre, il est souvent l'ultime rempart avant la publication finale du document, qu'il s'agisse d'un ouvrage imprimé ou d'une parution sur Internet. Sa lecture est minutieuse et très approfondie : il cherche et relève toutes les erreurs, fautes d'orthographe et de grammaire, fautes typographiques (majuscules, ponctuation...) et syntaxiques (relatives à la construction des phrases).
Style et clarté
Il vérifie aussi le sens et la cohérence du texte. Un oubli, une date erronée, un Louis XIV pour un Louis XVI, et le texte devient confus. Une perte de lisibilité qui entraîne une baisse de crédibilité pour l'auteur et l'éditeur. Ces derniers sont donc les interlocuteurs privilégiés de ce travailleur de l'ombre qui discute avec eux le style et la clarté d'un article ou d'un ouvrage.
Des interventions variables
Selon les recommandations qu'il reçoit et la nature des textes à traiter, l'intervention du correcteur sera sensiblement différente. Dans le cadre de la presse ou de la communication d'entreprise, son travail peut se limiter à la correction orthographique et typographique des documents. En revanche, le traitement d'un texte littéraire ou juridique exige parfois un travail de fond très poussé (recherches, vérifications diverses, suggestions de modifications).
Accès
Aucun diplôme spécifique ne prépare au métier de correcteur. Le niveau de culture générale requis impose néanmoins d'avoir suivi des études supérieures.
Des stages qualifiants proposés par des organismes reconnus (comme CFPJ, le Centre d'écruture et de la Communication, l'Asfored...) permettent de former les professionnels de l'écrit, de l'information et de la communication au métier de correcteur. Le Greta de la création, du design et des métiers d'art (GRETA CDMA) propose aux professionnels une formation de 6 mois permettant d'obtenir le titre "Lecteur-correcteur en communication écrite" niveau bac +2.
Niveau bac + 3
Licence lettres (des parcours « métiers du livre » sont parfois proposés)
Licence pro Métiers du livre : édition et commerce du livre
Niveau bac + 5
Master Métiers du livre et de l'édition
- éditeur/trice
Sentir les succès de demain
L'éditeur possède une solide culture générale, ainsi que des qualités d'expression écrite et orale (rédaction, orthographe, grammaire, connaissance des règles typographiques...). Intuitif et capable de « sentir l'air du temps », il possède le flair qui lui permettra de faire émerger un nouvel auteur au bon moment. Pour y parvenir, l'éditeur sait être à l'écoute des tendances et anticiper les attentes des lecteurs.
Travailler en équipe
L'éditeur est un véritable chef de projet qui sait faire collaborer auteurs, correcteurs, maquettistes et représentants de commerce autour d'un projet commun : un livre. Le goût pour le dialogue, l'écoute et le travail en équipe s'impose. Pour gérer plusieurs ouvrages en même temps, respecter un budget et des plannings est primordial. Le sens de l'organisation et la rigueur sont requis.
Connaître les techniques de fabrication
L'éditeur connaît parfaitement bien les différentes étapes de réalisation d'un livre. Des connaissances techniques sont également indispensables pour dialoguer avec les services de fabrication et l'imprimeur (choix du papier, tissus et matériaux pour les ouvrages jeunesse...). Sans oublier la maîtrise des outils bureautiques et multimédias.
Des géants côtoient des petits
L'édition compte près de 14 000 salariés, mais il n'y a bien souvent qu'un seul poste d'éditeur par maison. Les géants de l'édition côtoient une foule de petits éditeurs, dont certains fonctionnent avec moins de 5 salariés. Un même groupe peut contenir plusieurs maisons d'édition. Plus la structure est importante, plus les tâches (travail éditorial, fabrication, commercialisation...) sont morcelées. Les emplois se situent essentiellement sur Paris et en Ile-de-France.
Une majorité de manuels scolaires et de guides...
Bien qu'elle soit la première à venir à l'esprit quand on parle de l'édition, la littérature générale ne représente que 25 % environ du chiffre d'affaires du secteur. La grande majorité des ouvrages publiés sont des manuels scolaires, des guides pratiques, des livres scientifiques... Bénéficiant d'un réel engouement de la part des lecteurs, la littérature jeunesse représente à elle seule 14 % du marché.
Des ouvrages « clés en main »
Depuis quelques années, de plus en plus de professionnels de l'édition travaillent depuis leur domicile, sur commande. Une évolution du métier consiste à devenir packager . Cet éditeur fournit des ouvrages « clés en main » à des maisons d'édition qui ne souhaitent pas les réaliser en interne, mais qui y apposent néanmoins leur nom.
Sélectionner des auteurs
Être éditeur, c'est permettre à un texte d'être publié et... lu ! Pour repérer les nouveaux talents parmi les nombreux manuscrits reçus, l'éditeur s'appuie sur un comité de lecture, qui effectue un premier tri. Parallèlement, il travaille avec des auteurs confirmés. Dans l'édition scolaire ou pratique, il recherche des auteurs spécialisés (psychologie, sport, cuisine...). Son rôle consiste aussi à étoffer les collections, en proposant de nouvelles idées, de nouveaux supports (numérique, multimédia...).
Assurer le suivi des manuscrits
En moyenne, 6 à 9 mois s'écoulent entre la première lecture d'un manuscrit et la parution d'un livre. Dans une petite structure, l'éditeur gère les relations avec les auteurs, signe les contrats, relit et corrige les ouvrages avant leur impression. Lorsqu'il travaille dans une grande maison, il coordonne une équipe de collaborateurs (secrétaire d'édition, correcteur...). Veiller au respect du budget
L'éditeur ne perd jamais de vue les contraintes financières (droits d'auteur, coûts de fabrication, tirage, diffusion...). S'il se préoccupe de la qualité des ouvrages, il doit aussi, dans un secteur très concurrentiel, rendre des comptes et suivre les chiffres de vente.
Accès
Il n'existe pas de formation spécifique pour devenir éditeur. Néanmoins, plusieurs masters, de niveau bac + 5, proposés par l'université, préparent à ces fonctions d'encadrement ou de gestion de projet dans l'édition. À noter : les profils scientifiques et juridiques sont très appréciés par certaines maisons d'édition spécialisées dans les ouvrages scolaires, l'édition scientifique, etc. Les diplômés d'écoles de commerce gagnent aussi du terrain pour leurs compétences en marketing-vente, désormais essentielles au sein des sociétés du secteur.
Niveau bac + 5 et plus
Master Métiers du livre et de l'édition
Mastère spécialisé en management de l'édition numérique de l'École supérieure de commerce ESCP Europe, en association avec l'Asfored
- libraire
Culture générale
Pour devenir libraire, il ne suffit pas d'aimer lire. Le libraire doit guider les lecteurs. Une bonne culture générale et un intérêt constant pour l'actualité du livre sont essentiels pour sélectionner les ouvrages et conseiller les lecteurs de manière pertinente.
Sens du commerce
À son compte, un libraire doit aussi avoir des compétences en comptabilité-gestion pour équilibrer ses comptes, et un solide sens du commerce pour fidéliser ses clients. Des qualités personnelles telles que le goût du contact humain, une excellente mémoire, beaucoup de dynamisme et une bonne résistance physique se révèlent également indispensables.
Implication, ouverture
Pour faire connaître son commerce, le libraire est amené à s'impliquer dans la vie de son quartier ou de sa ville. Il peut le faire en travaillant avec des associations, des établissements scolaires, des bibliothèques, ou en développant d'autres activités comme le café-librairie…
Comme employé...
Le libraire peut travailler dans un magasin généraliste ou spécialisé dans un domaine précis : jeunesse, religion, art, BD, jardinage… Dans une grande surface, il est affecté au rayon livres. Certaines enseignes (librairies-papeteries, maisons de la presse…) ont un rayon livres suffisamment développé pour employer plusieurs libraires qui se répartissent alors les tâches selon leur spécialisation (jeunesse, sciences, littérature, BD…). Une bonne condition physique est nécessaire pour supporter la station debout.
... ou en indépendant
À son compte, le libraire est souvent amené à travailler seul. Polyvalent, il assume alors plusieurs fonctions. Gestionnaire, il commande, contrôle les livraisons, étiquette les produits et les enregistre sur ordinateur. Commerçant, il met en valeur les livres et la vitrine. Critique littéraire, il s'informe sur l'activité éditoriale et sur les grands courants qui se dessinent pour mieux répondre à la demande d'une clientèle avisée. Il travaille toute la semaine (jusqu'à 70 heures), généralement debout, gère des situations différentes qui se présentent souvent simultanément.
Sélectionner les ouvrages
Par des canaux d'information professionnels ou en recevant les représentants des maisons d'édition, le libraire se tient au courant des parutions à venir. Il commande des nouveautés, mais travaille aussi sur son fonds pour proposer un choix de livres moins récents adapté à sa clientèle.
Gérer le stock
Administrateur confirmé, il assume toutes les tâches liées à la gestion des stocks (commandes, inventaire, retour des invendus...). Il doit également réceptionner les cartons de livres, les déballer, les trier et les disposer dans les rayons du magasin.
Conseiller, animer
Le libraire exerce un rôle fondamental d'accueil et de conseil. La clientèle, souvent exigeante, attend de lui une bonne dose de culture générale, qu'il se tienne au courant de l'actualité littéraire, qu'il organise régulièrement des animations : vitrines thématiques, rencontres avec des auteurs… Il s'intéresse également au multimédia à connotation culturelle.
Accès
Aucun diplôme n'est exigé pour exercer la profession. La fonction tend toutefois à réclamer un niveau d'études correspondant à un bac + 3. Culture littéraire et sens commercial sont indispensables.
Niveau bac
BP (brevet professionnel) libraire
Niveau bac + 3
BUT information-communication, parcours métiers du livre et du patrimoine
Licence pro métiers du livre : édition et commerce du livre
Licence mention information-communication parcours librairie
Niveau bac + 5
Master Métiers du livre et de l'édition
- secrétaire d'édition
Aptitude à l'organisation
Parfaitement bien organisé, le secrétaire d'édition doit savoir gérer les priorités, étape par étape, en ayant à l'esprit le planning, les contraintes de budget et les disponibilités de chaque intervenant. Coordinateur hors pair, il réagit rapidement face aux imprévus, dialogue avec les différents professionnels concernés par la finalisation d'un ouvrage (du traducteur à l'imprimeur). Le tout sans rien oublier !
Rigueur et curiosité
Une solide culture générale, une excellente maîtrise du français et des qualités rédactionnelles sont indispensables dans ce métier. Autres atouts : une bonne maîtrise des outils informatiques et de la chaîne éditoriale. Le secrétaire d'édition fait par ailleurs preuve de rigueur pour contrôler les épreuves et vérifier la cohérence de l'ensemble, jusque dans les moindres détails. Enfin, la curiosité est importante pour s'adapter à différents projets et changer de sujet.
Sens du dialogue
Au coeur de la chaîne éditoriale, ce professionnel joue un rôle de coordination et de liaison essentiel auprès des divers intervenants (auteur, correcteur, maquettiste...). Doté d'un bon sens relationnel, il fait preuve d'écoute, tout en étant ferme lorsqu'il s'agit de faire accepter certaines modifications à des auteurs parfois susceptibles !
Petite ou grande maison
Secrétaire ou assistant d'édition... la définition du poste peut varier selon la taille de la maison d'édition, la structure de l'équipe, l'organisation du travail, etc. Il n'est pas rare, dans les petites entreprises, que le responsable éditorial, ou même l'éditeur, effectue le secrétariat d'édition sur les ouvrages de la collection dont il a la charge, en assurant le suivi de A à Z.
Vers plus de responsabilités
D'une manière générale, le secrétaire d'édition prend de plus en plus de responsabilités. On lui demande de faire part d'une certaine créativité et d'assumer des missions variées : participation à l'élaboration des contrats, gestion des droits d'iconographie, finalisation d'une traduction... Sa polyvalence le rend précieux !
Sur divers supports
Ce professionnel travaille sur tous les types d'ouvrages (romans, guides pratiques, manuels scolaires...), ainsi que sur des revues, des disques, des cédéroms, des supports publicitaires...
Il peut se déplacer chez les intervenants (illustrateur, imprimeur...) ou lors de manifestations (salons, foires...). S'il travaille souvent seul lors des phases de relecture, le secrétaire d'édition s'implique dans un travail d'équipe avec les autres professionnels de la chaîne éditoriale.
Préparer la copie
Le secrétaire d'édition a d'abord entre les mains un manuscrit " brut ", qu'il se charge de relire et de préparer. Pour apporter les améliorations nécessaires au texte, il propose des modifications à l'auteur ou au traducteur, discute avec lui du contenu, l'invite à retravailler légèrement le style. Il intègre les corrections et veille à la cohérence de l'ouvrage : table des matières, équilibre des chapitres, notes à rédiger pour plus de clarté... Il collecte ou commande, si besoin, les photos, les dessins ou les infographies qui compléteront l'ensemble.
Assurer le suivi de fabrication
Le texte prêt, le secrétaire d'édition lance la réalisation de la mise en pages et de la couverture. En collaboration avec le graphiste, il accompagne la composition de l'ouvrage et contrôle les épreuves au retour de la maquette. C'est à lui que revient la responsabilité de donner le BAT (bon à tirer), ultime version du livre qui sera confiée à l'imprimeur.
S'impliquer du planning aux projets
Peuvent s'ajouter des tâches de secrétariat et de gestion : mise au point de budget, tenue de plannings, suivi de contrats avec les auteurs... Le tout dans le respect du cahier des charges et des délais. Enfin, le secrétaire d'édition peut participer au comité de lecture, à la recherche d'auteurs, à la prise de contacts avec les agents étrangers ou le service de presse...
Accès
Séduisant, ce métier attire de nombreux jeunes diplômés, malgré un nombre de recrutements limité... Résultat : le niveau de formation (et d'embauche) se situe majoritairement à bac + 5. Si les compétences pour devenir un bon secrétaire d'édition s'acquièrent sur le terrain, le savoir-faire requis explique la nécessité d'une formation aux techniques éditoriales.
Niveau bac + 3
BUT information-communication, parcours métiers du livre et du patrimoine
Licences pro Métiers du livre : édition et commerce du livre
Niveau bac + 5
Masters Métiers du livre et de l'édition
Etablissement
- Faculté libre des lettres & sciences humainesToulouse31068
Unité de formation et de recherche
Faculté libre des lettres & sciences humaines
31 rue de la Fonderie, BP 7012
31068
Toulouse
05 61 36 81 38
https://www.ict-toulouse.fr/domaine/lettres-sciences-humaines/
• Enseignement : privé sous contrat
• Durée de formation : 2 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : externat fille garçon
• Début : 01/09/2023
• Fin : 30/06/2025