[Intitule] BP JEPS spécialité activités sports collectifs mention football
libelle: CAPA Services aux personnes et vente en espace rural
Niveau: Bac + 5
[Objectif] Le titulaire du brevet professionnel de la jeunesse, de l’éducation populaire et du sport, BPJEPS, exerce le métier d’animateur dans une association, un club sportif ou une entreprise. Il peut également préparer les concours de la fonction publique territoriale (éducateur territorial des activités physiques et sportives, animateur territorial) ou de la fonction publique hospitalière (animateur). Avec la spécialité sports collectifs, il peut concevoir des projets d’animation et conduire en autonomie des séances d’entraînements dans la discipline de la mention choisie (football, handball, rugby à XV…). La préparation de ce diplôme est assurée par des centres de formation agréés par les directions régionales de la Jeunesse, des Sports et de la Cohésion Sociale (DRJSCS). Pour tout renseignement, consulter le site du ministère des Sports : www.sports.gouv.fr.
Bonton Résultats « Fiche Onisep » lien blank: http://www.onisep.fr/http/redirection/formation/identifiant/34267/ / Bouton Contenu « Certification Pro » lien blank : http://certificationprofessionnelle.fr/recherche/rncp/25521
[Descriptif]:
<p>Ce CAP agricole forme des employés qualifiés en services aux personnes et en accueil-vente en espace rural, pour travailler dans des magasins traditionnels, des supermarchés de proximité, des supérettes ou certains commerces, qui exercent des activités de services, comme les pharmacies, les salons de coiffure, La Poste ou encore les banques et assurances .Ils travaillent aussi dans les halles, sur les marchés et les lieux de tourisme (chambre d’hôtes etc.) </p>
<p>Dans le secteur des services aux personnes, le professionnel intervient auprès de nombreux publics et notamment des publics dits fragiles : petite enfance, personnes handicapées, personnes âgées ou/et dépendantes. Il est employé au sein de diverses structures publiques ou privées, à domicile ou dans des structures collectives d’hébergement (de type maisons de retraite, EPHAD, foyer-logement…) ainsi que dans des garderies, établissements scolaires, hôpitaux de jour…</p>
Acces:
<p>Ce bac pro se prépare en trois ans après la classe de troisième. Les élèves titulaires de certains CAP du même secteur peuvent également le préparer en 2 ans sous certaines conditions.</p>
Attendu:
<h4>Attendus nationaux de la plateforme d’inscription dans l’enseignement supérieur Parcoursup</h4>
<p>Être majeur</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour les aménagements paysagers, l’entretien des parcs et jardins, les espaces verts et les espaces boisés</p>
<p>Manifester de l’intérêt pour la gestion technique, économique et pratique d’un chantier</p>
<p>Vouloir travailler en extérieur en entreprises d’espaces verts ou en entreprises spécialisées en taille des arbres</p>
<p>Avoir des aptitudes physiques pour le travail en hauteur dans le respect des règles de sécurité et de la réglementation en vigueur </p>
Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation
Certification: Diplôme national ou diplôme d’Etat
Poursuite:
<p>Le bac pro a pour premier objectif l’insertion professionnelle mais, avec un très bon dossier ou une mention à l’examen, une poursuite d’études est envisageable en BTS Technico commercial en priorité, ou du secteur bois plus rarement.</p>
<p> </p>
Liste formations poursuite: …
Possibilité de mettre les métiers…
Etablissements:
- Institut des Métiers du Sport de Béziers
2 rue Louis Lafferre
34500
Béziers
Tel: 06 87 85 45 69
Fax: 04 67 44 43 12
http://imsb34.org
Rythme Formation: apprentissage; alternance sous statut scolaire
Session début: 20200901
Session fin: 20220630
hébergement: internat, garçon fille
durée: 3 ans
- Etablissement …
master mention réseaux et télécommunication
master mention réseaux et télécommunication
Ministère chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche
Niveau terminal d'études :
Nature du diplôme : Diplôme national ou diplôme d'État
Fiches métiers
H1206 - Management et ingénierie études, recherche et développement industriel
H2502 - Management et ingénierie de production
M1801 - Administration de systèmes d'information
M1802 - Expertise et support en systèmes d'information
M1804 - Études et développement de réseaux de télécoms
Métiers
- administrateur/trice de réseau
Incollable en systèmes et réseaux
L'administrateur réseaux a une bonne connaissance des réseaux classiques (matériels de câblage, transmission, routage, protocoles de communication...), mais aussi des systèmes d'exploitation (Windows, Linux). De fait, les solutions réseaux sont de plus en plus complexes et font aujourd'hui appel au système dans son ensemble. Il est impératif pour lui de suivre les évolutions technologiques et de se former en permanence. La connaissance de VMware et la certification ITIL est de plus en plus demandée.
Des qualités relationnelles
En contact avec les constructeurs et les prestataires extérieurs (fournisseurs, opérateurs...), il possède un bon sens de la communication, du service et de la persuasion. Il sait trouver sa place au sein d'équipes pluridisciplinaires (ingénieurs, techniciens...). À l'écoute des utilisateurs, il cerne leurs attentes et peut être amené à les former. Face à ces interlocuteurs très divers, il doit adapter son langage et faire parfois preuve de pédagogie.
De la méthode
Pour exercer ce métier, il faut témoigner d'une grande rigueur et d'une faculté d'analyse développée. Lorsqu'il est confronté à un incident lié au réseau, l'administrateur réseaux fait preuve d'autonomie, de rapidité et de sang-froid.
Des fonctions variables
Suivant l'organisation et l'importance de son employeur, les fonctions de l'administrateur réseaux sont plus ou moins étendues. Il peut intervenir dès la conception du réseau ou sur un réseau déjà en place. Il est davantage polyvalent dans les PME (petites et moyennes entreprises). Selon le cas, il appartient à la direction de l'exploitation, à la direction informatique, à une équipe de supervision du réseau ou bien exerce sous la responsabilité d'un directeur technique.
En interne et en externe
En interne, l'administrateur réseaux collabore étroitement avec les ingénieurs systèmes et réseaux et avec le responsable télécoms ou exploitation. Il leur signale les dysfonctionnements et peut leur suggérer des modifications à apporter au réseau. Il anime parfois une équipe de techniciens. En société de services, il intervient souvent dès la conception et conseille les clients dans le choix des matériels les plus adaptés à leurs besoins.
Le soir et le week-end
Pour assurer une qualité de service constante, l'administrateur réseaux est souvent soumis à des astreintes, le soir et les week-ends. Dans tous les cas, il doit résoudre les problèmes au plus vite, en dérangeant le moins possible le fonctionnement de l'entreprise et en résistant à la pression inhérente à sa fonction.
Une vision d'ensemble
Grâce à sa bonne connaissance de l'ensemble des équipements de l'entreprise, l'administrateur réseaux peut intervenir sur des connexions informatiques, de téléphonie, de l'Internet, de la messagerie... Il veille à la performance du réseau dont il a la charge, repère les points critiques, puis s'efforce d'apporter des solutions adaptées : ouverture de nouveaux accès, sécurisation et confidentialité accrues (mot de passe, sauvegarde...), plan de secours pour garantir la continuité du fonctionnement, etc.
Technique et organisation
L'administrateur réseaux réceptionne les matériels informatiques et de télécommunication, en veillant à leur compatibilité avec les installations existantes. Il les configure et les paramètre pour les insérer dans le réseau. C'est un métier à la fois technique et organisationnel, qui prend aussi en compte la question du respect des règles de sécurité par les utilisateurs.
Toujours à la pointe
Avec les ingénieurs et les techniciens, il définit les plans de rénovation ou d'extension du réseau. Pour cela, il effectue une veille informatique permanente et suit des formations lui permettant d'anticiper et suivre les évolutions technologiques. Il guide les utilisateurs dans l'emploi de nouveaux outils et intervient quand des difficultés surviennent.
Accès
Ce métier peut s'exercer avec différents niveaux de formation : tout dépend de l'importance du réseau à administrer. Avec un niveau bac + 2, par exemple, il est possible de se forger une première expérience en gérant un réseau local au sein d'une PME (petite et moyenne entreprise). Certains CFA (centres de formation d'apprentis) proposent des formations de technicien supérieur en administration de réseaux.
Niveau bac + 2
BTS en informatique, réseaux et télécommunications
Niveau bac + 3
BUT réseaux et télécommunications
Licence professionnelle en administration et sécurité des systèmes
Niveau bac + 5
Master mention réseaux et télécommunications, mention informatique
Diplôme d'ingénieur orienté réseaux
- architecte des systèmes d'information
Des compétences techniques
Expert en matière de conception et de modélisation (cartographie, modélisation de flux de données), de matériels et d'applications (CRM, BI, ERP, workflow...), l'architecte des SI maîtrise également les normes et méthodes de développement. Pour se maintenir au top, il assure une veille technologique permanente de son secteur.
Des qualités personnelles
Bon sens relationnel et fibre pédagogique sont indispensables à l'architecte des SI qui a besoin de comprendre les besoins de chacun pour réussir sa mission. Par ailleurs, il doit être capable d'expliquer clairement son projet à des non-spécialistes (par exemple, les nouvelles procédures que son plan peut engendrer), et se montrer persuasif pour remporter leur adhésion. Rigoureux et organisé, il est également réactif et doit être disponible pour ses nombreux interlocuteurs.
Un esprit de synthèse
Sa vision globale et synthétique des systèmes d'information ainsi que sa bonne connaissance des métiers de l'entreprise lui permettent de mener à bien sa mission. Il doit aussi être capable d'anticiper les changements, et parler l'anglais couramment. Des qualités rédactionnelles sont enfin nécessaires pour rédiger les rapports.
Consultant ou salarié
L'architecte des SI travaille au sein d'une entreprise utilisatrice comme salarié, ou comme consultant extérieur, généralement pour le compte d'une ESN (entreprise de services du numérique). Il peut également se mettre à son compte. Au sein des grands groupes, l'architecte des SI est spécialisé (en logiciels, en infrastructure...).
En relation avec de nombreux métiers
S'il travaille souvent seul dans la phase de conception de son plan de développement, l'architecte des SI, pour mener à bien son audit préalable, doit consulter un grand nombre d'interlocuteurs de l'entreprise. De même, lors de la mise en oeuvre de son plan, il assiste le chef de projet et ses équipes sur le terrain. Véritable facilitateur des organisations, il est à la croisée de métiers très différents, où il joue un rôle crucial d'interface.
Identification de l'existant
L'architecte des SI (systèmes d'information) analyse les serveurs, systèmes d'exploitation, ordinateurs, logiciels, etc. en fonction, afin de les adapter aux besoins qu'il a identifiés en amont, ou en réponse à des problèmes précis qu'on lui demande de résoudre (optimiser la sécurité des données, par exemple).
Analyser et proposer des solutions
Son travail commence toujours par un audit de la situation actuelle. Il doit imaginer un système évolutif et flexible, dans le respect du budget alloué. L'ensemble de ses préconisations, qu'elles soient techniques, matérielles ou virtuelles, est transcrit dans un plan de développement et transmis au chef de projet qui, le cas échéant, fera appel à des spécialistes pour la mise en oeuvre (architecte cloud, développeur...).
Suivre l'exécution
L'architecte des SI suit la mise en place du plan informatique et contrôle les opérations à chaque étape pour veiller tant à la cohérence qu'à la performance de son système. Dans une société de conseil, il répond à la demande précise d'un client, alors que, s'il travaille au sein d'une grande entreprise, il est davantage impliqué dans le choix des solutions qu'il a préconisées et la recherche de prestataires pour leur mise en oeuvre.
Accès
Le métier d'architecte des SI est accessible aux titulaires d'un diplôme d'ingénieur ou d'un master axé informatique et SI (système d'information), après quelques années d'expérience.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur en informatique, télécoms...
Master mention informatique ou mention réseaux et télécommunications
- architecte produit industriel
Maître ès nouvelles technologies
CAO (conception assistée par ordinateur), DAO (dessin assisté par ordinateur), CFAO (conception et fabrication assistées par ordinateur) ou encore TGAO (technologie de groupe assistée par ordinateur) autant de logiciels qui n'ont pas de secrets pour l'architecte produit... qui sait aussi utiliser les logiciels de modélisation et de simulation pour ses études de faisabilité.
Des connaissances larges
L'architecte produit maîtrise l'anglais technique, connaît les normes qualité et possède des notions en droit de la propriété intellectuelle et gestion budgétaire pour mener à bien ses études sans perdre de temps inutilement.
Toujours à l'affût
Comme il travaille en équipe de projet, il connaît les techniques de management et celles de conduite de projet. Il allie curiosité technique et esprit de synthèse, rigueur et anticipation. Afin de donner une longueur d'avance à son entreprise ou son client, il exerce une veille sur la concurrence, la réglementation de son secteur et les nouvelles technologies notamment.
En équipe
L'architecte produit travaille dès la phase de l'avant-projet avec le chargé d'affaires puis, pour le développement et la mise en service, aux côtés du chef de projet en lui apportant son assistance technique mais surtout sa vision globale. Il travaille également avec des techniciens qui peuvent être spécialisés sur certains aspects de la production, par exemple.
Au carrefour des services
Il est généralement rattaché au service R & D (recherche et développement) s'il travaille au sein d'une grande entreprise, tout en restant en lien avec la production, le marketing, les méthodes, la qualité ou le service clients parce que son approche est tout à la fois globale et très ancrée dans la réalité du produit.
Devant son ordinateur
Il travaille surtout dans un bureau et se sert essentiellement de l'outil informatique, pour modéliser notamment. Dans certains secteurs, il peut être amené à porter un équipement de protection individuelle (en chimie, par exemple) ou à travailler en salle blanche (en électronique, par exemple).
De l'innovation...
Dans les entreprises industrielles, l'innovation, cruciale, consiste à anticiper l'évolution d'un produit qui a trouvé un marché porteur. Si des problèmes apparaissent durant sa mise en service ou son cycle de vie, la capacité à modifier rapidement ce produit ou sa fabrication évite son retrait du marché et des pertes financières. Pour ce faire, l'architecte produit commence par éplucher les remontées clients sur un produit, pour trouver des pistes de recherche. Il doit avoir une vision globale et ne pas hésiter à remettre en cause la façon de faire ou de considérer un produit pour le faire évoluer.
... mais dans un cadre
Il doit anticiper sur les produits existants, en imaginer de nouveaux et être inventif tout en étant très pragmatique et ne jamais oublier qu'il doit apporter un réel plus au produit sans en amoindrir la qualité, dans le respect des coûts, des délais et des normes. Pour cela, il réalise des modèles et des tests.
Le produit de A à Z
Il doit faire une importante étude de faisabilité de son projet, avec des propositions techniques et technologiques précises, et réaliser régulièrement des synthèses des différents besoins pour définir une stratégie produit. Parfois, modifier un produit le conduit à revoir toute une gamme proposée par l'entreprise.
Accès
Ce métier est généralement accessible après un bac + 5 dans les domaines techniques ou industriels. Les titulaires d'un bac + 2/3 pourront également y accéder, mais après quelques années d'expérience.
Niveau bac + 5
Master mention automatique, robotique ; électronique, énergie électrique, automatique ; génie industriel ; génie mécanique ; informatique ; ingénierie des systèmes complexes ; instrumentation, mesure, métrologie ; mathématiques ; réseaux et télécommunication ...
Diplôme d'ingénieur
- architecte réseau
Connaissances à flux tendu
Ce professionnel est un expert en réseaux et télécommunications, en particulier dans leur mise en oeuvre. Il doit suivre toutes les évolutions technologiques relatives à son domaine pour mieux anticiper les besoins des utilisateurs. Par ailleurs, il doit parfaitement maîtriser l'anglais.
Esprit de synthèse
Rigoureux et méthodique, il doit impérativement avoir un esprit de synthèse pour appréhender l'organisation du réseau de manière globale et prendre du recul. Lorsqu'il cherche à élaborer des solutions adaptées, il doit également savoir faire preuve d'imagination.
Force de conviction
Qualité d'écoute et force de conviction sont des atouts indispensables dans ce métier où il faut savoir gérer projets et clients... et se faire comprendre. Enfin, ses qualités relationnelles lui permettent d'être à l'aise face à de nombreux interlocuteurs.
De plus en plus souvent en ESN ou en télécoms
Ce cadre travaille pour le compte d'opérateurs de télécommunications, mais, le plus souvent pour une ESN (entreprise de services du numérique) qui met en oeuvre des architectures de communication pour les administrations et les entreprises industrielles, financières ou commerciales.
Selon le client
Avec l'aide des services techniques de son entreprise (ESN ou opérateur télécoms), il propose à son client (entreprise, administration) des solutions en fonction du cahier des charges et du réseau préexistant, assorties d'une proposition commerciale (laquelle est souvent prise en charge par l'ingénieur d'affaires). Si la société cliente possède des terminaux sur différents sites (comme les grandes entreprises), il peut se déplacer régulièrement.
Un travail d'équipe
L'architecte réseaux collabore au quotidien avec les équipes informatiques dédiées aux fonctions d'études, d'exploitation, de réseaux et télécommunications et les personnels de direction de l'entreprise cliente. Il est également amené à dialoguer et à négocier avec les opérateurs télécoms existants ou potentiels.
Analyser le réseau existant
À quoi va servir le réseau ? Quels en seront les utilisateurs ? À partir de l'analyse des réseaux en place et de la circulation de l'information dans l'entreprise, l'architecte réseaux fait le bilan des besoins techniques en communication : interconnexion des micro-ordinateurs, création et installation d'une messagerie électronique, d'un réseau intranet, intégration des lignes téléphoniques...
Élaborer et exécuter
Partant des attentes de l'entreprise, il sélectionne et teste des architectures, cherche et préconise des solutions. Puis il définit la configuration du réseau (en boucle, en étoile) et ses fonctionnalités d'ensemble selon les contraintes de débit. Son but : faire communiquer les machines d'origine avec de nouveaux matériels, plus sophistiqués.
Superviser et gérer
C'est lui qui assiste et conseille les techniciens dans leur travail, voire qui les dirige. Gestionnaire averti, il établit les plannings et les budgets, en fonction des contraintes économiques, réglementaires, techniques et des délais demandés. Enfin, il supervise les relations avec les fournisseurs et négocie les contrats au meilleur coût. Parfois, il rédige des appels d'offres et en assure le suivi.
Accès
Pour devenir architecte réseaux, il faut posséder un diplôme de niveau bac + 5 (diplôme d'ingénieur ou master) au minimum.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur
Master mention réseaux et télécommunications, mention informatique
Niveau bac + 6
Mastère spécialisé en systèmes de communication et réseaux, réseaux et systèmes d'information pour les entreprises...
- architecte web
Expertise technique
En tant qu'expert, l'architecte web possède de solides connaissances techniques : architecture des systèmes web, langages de programmation spécifiques à Internet, bases de données, méthodes de développement, bande passante, outils de test... Il doit aussi avoir de bonnes capacités d'abstraction pour modéliser une solution par exemple.
Bon communicant
Il maîtrise également les techniques de conduite de projet et se montre doué pour le relationnel car, régulièrement en contact avec de nombreux interlocuteurs, il sert d'interface entre les équipes de développement et celles d'exploitation ou, le cas échéant, l'hébergeur. Selon le cas, il devra donc adapter son langage pour être sûr d'être compris par tous.
Capacités d'adaptation
Réactif et créatif, l'architecte web doit avoir réponse à tout rapidement ! Il doit être capable de gérer les modifications de projets, que ce soit pour des raisons budgétaires ou fonctionnelles, en les revoyant parfois entièrement. Il doit également pouvoir anticiper les évolutions futures grâce à une veille technologique permanente.
Proche de l'équipe de production
Si l'architecte web est fréquemment dans un bureau derrière son écran, il n'est pas isolé dans sa tour d'ivoire. Il travaille en équipe et doit savoir rester disponible pour résoudre les problèmes techniques qui peuvent se présenter au cours du développement du projet. Il travaille ainsi en collaboration régulière avec le chef de projet, les développeurs, le responsable système/réseaux, le responsable de la sécurité informatique...
Une fonction à géométrie variable
Selon la structure dans laquelle il travaille et la taille de son entreprise, il peut exercer une fonction de directeur technique ou, au contraire, être rattaché à celui-ci, ou à un responsable informatique, un directeur des systèmes d'information ou un directeur de projet. Dans tous les cas, il a un rôle stratégique et central.
Un poste à responsabilités
Lors de certaines phases du développement, l'architecte peut être amené à travailler tard le soir, voire être d'astreinte le week-end pour prévenir tout problème technique. Il s'agit d'un poste à responsabilités qui demande une bonne disponibilité et une résistance au stress.
Proposer les meilleures solutions
L'architecte web commence son travail en amont d'un projet en en faisant un audit technique. Ensuite, il conseille les intervenants (chef de projet interne ou client extérieur) dans leurs choix technologiques, puis valide la cohérence des solutions retenues. Il s'attache notamment à garantir la bonne tenue des outils choisis sur la durée en anticipant les besoins futurs et les évolutions possibles du projet.
Établir le cadre du travail
Il conçoit et modélise des architectures système, réalise des maquettes pour présenter les avantages et les inconvénients des différentes solutions. Il participe aux calculs de bande passante pour les sites à fort trafic, dimensionne les serveurs en fonction de l'activité actuelle et future, gère les relations avec l'hébergeur, participe à la structuration des bases de données. C'est lui qui établit le cadre de travail (framework) des développeurs.
Assurer le support technique
S'il travaille en ESN (entreprise de services du numérique), il peut également répondre au cahier des charges du client et chiffrer l'ensemble du projet d'un point de vue technique. Au cours du développement du projet, il reste présent en support de l'équipe de production pour tout problème technique. Il réalise enfin les tests de charge pour vérifier la solidité de l'architecture.
Accès
Le métier d'architecte web n'est pas immédiatement accessible aux débutants. Une expérience préalable de 2 à 5 ans en production informatique est recommandée.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur en informatique spécialisé en réseaux, télécommunications et technologies web
Master mention informatique, mention réseaux et télécommunications, avec une spécialité Web
Formation de l'école spécialisée des métiers de l'Internet Hetic
- ingénieur/e intégration satellite
Rigueur et connaissances techniques
Pas de droit à l'à-peu-près ! Un mauvais réglage et les conséquences peuvent faire très mal au porte-monnaie de l'entreprise... jusqu'à 200 000 € pour certaines pièces ! Autant dire que la minutie, le respect des méthodes et des mesures de sécurité, ainsi qu'un excellent esprit de synthèse, sont de... rigueur ! Déterminer les critères de qualité et d'amélioration du système doit aussi faire partie de la panoplie de l'ingénieur intégration satellite.
Un esprit d'équipe
Parce qu'il doit assurer le transfert des compétences aux équipes de production, il participe activement à l'élaboration des documents internes techniques et des procédures d'exploitation. Son rôle central dans le projet lui impose donc une communication permanente : avec d'autres ingénieurs spécialisés, mais aussi avec les ouvriers, les techniciens-monteurs, les chefs de projets et de service... Bien sûr, la maîtrise de l'anglais est indispensable, surtout à l'écrit.
Les pieds sur terre
C'est en salle blanche où température, humidité et propreté sont rigoureusement contrôlées, que l'intégrateur et les monteurs assemblent les différentes parties du satellite. Un travail qui requiert une précision et une minutie maximales, ainsi qu'une tenue spécifique (blouse, masque, gants...). Toutefois, l'ingénieur intégration satellite passe aussi la moitié de son temps devant l'ordinateur (préparation des documents techniques, vérification des outillages, gestion et relations avec sous-traitants...).
Encadrer à différents niveaux
C'est lui qui encadre l'équipe pluridisciplinaire réalisant l'intégration. Il mesure et analyse tous les dysfonctionnements qui surviennent pendant la phase d'assemblage, d'intégration et de tests, quelles qu'en soient les origines.
Un ingénieur, des spécialités
L'ingénieur intégration satellite est spécialisé soit dans le montage et la vérification des sous-ensembles (instruments de navigation, électricité, optique, propulsion, thermique...), soit dans la vérification des différents systèmes électroniques ou encore dans la totalité de l'assemblage des ensembles et sous-ensembles du satellite et de leur vérification, dans une atmosphère contrôlée en salle blanche (avec contrôle de la température, hydrométrie, humidité, propreté...).
Mettre sur orbite
Outils de navigation, mécanismes de propulsion et d'alimentation, instruments scientifiques de haute technologie qui accompliront une mission scientifique (appelés aussi " charge utile ") : un satellite est composé de nombreux éléments, eux-mêmes constitués de milliers de pièces. C'est à l'ingénieur intégration d'organiser leur assemblage pour constituer un ensemble cohérent prêt à être envoyé dans l'espace. Il planifie et coordonne donc le travail des différents intervenants sur l'intégration du satellite : monteurs, techniciens essais...
Simuler des conditions spatiales
Au cours de son lancement et de son voyage dans l'espace, un satellite est mis à rude épreuve : vibrations, chocs, froid... Pour s'assurer qu'il résistera une dizaine d'années à ces contraintes, l'ingénieur intégrateur réalise des campagnes d'essais au sol. Il soumet l'engin à de forts champs électromagnétiques comme ceux qu'on trouve en orbite terrestre, au vide thermique (températures extrêmes), à l'accélération... et vérifie qu'aucune pièce ne casse ou ne se détache. Car, une fois en orbite, impossible de réparer le satellite. Une grande partie de son temps est donc consacrée à vérifier le positionnement des pièces grâce à des instruments très spécifiques (théodolite, laser tracker...).
Accès
L'accès au métier est accessible avec un bac + 5 au minimum, voire un bac + 8 (doctorat).
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur en aéronautique et spatial (spécialisé en télécommunications, électronique, mécanique, électrique, avionique, optique, propulsion, thermique...)
Master mention aéronautique et espace ou autres mentions en lien avec télécommunications, électronique, mécanique, électrique, avionique, optique, propulsion, thermique...
- ingénieur/e support
Écoute et efficacité
En première ligne face au client, l'ingénieur support doit avoir un très bon relationnel, le sens de l'écoute et une certaine fibre commerciale. Efficacité et diplomatie sont des qualités essentielles à mettre en oeuvre dans ce métier.
Zen mais réactif
Organisé et réactif, il doit savoir gérer les crises et rester calme en toutes circonstances. Bien que son travail puisse être stressant, il ne doit pas le laisser paraître. Ses capacités d'analyse sont également essentielles.
Toujours branché
En plus de connaissances techniques générales, il connaît parfaitement les produits et services développés par son entreprise. Anciennes et nouvelles technologies n'ont pas de secrets pour lui car il doit est curieux et à l'affût des nouveautés et des évolutions dans son domaine.
Souvent au téléphone
L'ingénieur support, en fonction de son degré d'intervention et de l'entreprise qui l'emploie, peut intervenir uniquement par téléphone ou au contraire être amené à se déplacer souvent chez le client lorsqu'il s'agit de problèmes plus complexes ou s'il doit superviser une installation ou encore former des utilisateurs.
Avec l'aide d'une équipe
S'il intervient généralement seul, l'ingénieur support a derrière lui toute une équipe avec qui il est en communication régulière, à la fois pour la recherche de solutions, mais aussi pour analyser le retour des informations qu'il a récoltées auprès des utilisateurs.
Le relais de l'entreprise
À l'interface entre les utilisateurs et son entreprise, l'ingénieur support est le principal représentant de cette dernière. Il peut travailler en pôle de services avec plusieurs de ses homologues avec qui il peut échanger et partager son expérience.
Poser un diagnostic
Prévenu en général par e-mail ou par SMS, l'ingénieur support doit contacter le client au plus vite pour comprendre la nature de l'incident. Il fait alors une première vérification par téléphone pour s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une mauvaise utilisation ou d'un simple problème de branchement, par exemple. Après avoir écarté ces solutions, il pose un diagnostic précis sur la nature de l'incident, qu'il soit logiciel ou technique. S'il ne travaille que sur les problèmes d'application, on l'appelle ingénieur support applicatif.
Trouver une solution
Vient ensuite la recherche de la solution qui, en situation de crise, ne devra pas prendre plus de quelques heures. Grâce à son expérience et à un dialogue avec les équipes de développement, l'ingénieur support arrive à une ou plusieurs solutions possibles.
Suivre la mise en place
Il assiste ensuite le client dans la mise en oeuvre de ces solutions, ou les met en place lui-même. Le cas échéant, il forme les utilisateurs aux nouvelles fonctions. Grâce au suivi et à la gestion des problèmes, il contribue à l'amélioration des produits en faisant remonter les informations récoltées auprès des différents services (études, qualité, marketing...). Il doit aussi exercer une veille technologique pour rester performant.
Accès
Le métier est accessible à des techniciens expérimentés ou à de jeunes diplômés de niveau bac + 5 dans le domaine informatique.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur en informatique
Master mention informatique, mention réseaux et télécommunication...
- ingénieur/e système
Maîtriser les systèmes
Cet ingénieur connaît sur le bout des doigts les architectures système, les systèmes d'exploitation et la gestion de bases de données. Il sait parfaitement utiliser les systèmes d'information de l'entreprise. Pour changer régulièrement d'environnement technique, de bonnes capacités d'adaptation s'imposent.
Comprendre les enjeux
Il s'intéresse aux activités de l'entreprise dont il connaît les rouages. Il prend ainsi la mesure des enjeux et analyse les besoins au plus juste. C'est indispensable pour avoir la vision globale d'un projet et apporter des solutions pertinentes.
Se faire comprendre
Rigoureux et méthodique sur toute la ligne, c'est également un homme (ou une femme) de dialogue. Ses qualités relationnelles lui permettent de communiquer sur son travail et de vulgariser des informations techniques auprès des utilisateurs.
Dans les SSII, les PME, les groupes industriels...
L'ingénieur système peut exercer son activité dans les services informatiques des entreprises, dans les SSII (sociétés de services en ingénierie informatique), les administrations... Son poste est le plus souvent rattaché au responsable système. Dans les structures importantes, il dépend d'un directeur technique. Dans les petites entités, il gère également les réseaux.
Des responsabilités renforcées
Face à des systèmes d'information de plus en plus complexes, ses fonctions tendent à s'élargir, notamment en ce qui concerne la gestion de la relation client et le management de la logistique. Soucieux de faire évoluer les systèmes, il les adapte aux nouveaux besoins de l'entreprise.
Des périodes de turbulence
Le plus souvent, ce professionnel a des horaires réguliers. Toutefois, en cas d'incident, on fait appel à lui en dehors des heures habituelles. Des astreintes sont aussi à prévoir. Dans les SSII, les conditions de travail sont parfois moins confortables, avec des déplacements nombreux et un rythme soutenu pour tenir les délais.
Gérer le système d'information
L'ingénieur système est responsable de l'installation et de la maintenance des équipements informatiques et des logiciels d'une entreprise sur l'ensemble de ses implantations. Au moyen de tests et de contrôles réguliers, il cherche sans cesse des solutions susceptibles d'accroître les performances du système.
Protéger et dépanner
Responsable de la confidentialité des informations qui transitent sur le réseau, il gère les autorisations d'accès et installe des systèmes de protection. Lorsque les utilisateurs ont des problèmes, il les identifie et les résout au plus vite, en lien avec l'administrateur réseau.
Conseiller et innover
Auprès des équipes de développement, ce cadre technique assure une mission de conseil en matière de configuration. Il évalue et anticipe les besoins de l'entreprise, informe les utilisateurs des évolutions techniques, au besoin encadre des formations. Il effectue une veille technologique et facilite l'intégration des nouveaux outils système.
Accès
Les diplômés de niveau bac + 5 (ingénieurs ou titulaires d'un master) bénéficient de belles opportunités. Les techniciens supérieurs (bac + 2 ou + 3) avec une expérience professionnelle sont également recherchés.
Certaines universités proposent des spécialisations intéressantes : sécurité des systèmes informatiques, systèmes intelligents et communicants (SIGE) ; ingénierie des réseaux et systèmes...
Les diplômes d'ingénieurs semblent davantage correspondre au profil type recherché par les recruteurs. Plusieurs établissements proposent une spécialité systèmes en fin de cursus : Grenoble INP-Ensimag, Supélec à Gif (91), Ecam Rennes (35), ENI Metz (57), Télécom SudParis à Évry (91)... Ou une filière spécialisée : Eisti à Cergy-Pontoise (95), Enssat à Lannion (22), Esil à Marseille (13)...
Niveau bac + 5
Master mention informatique ou mention réseaux et télécommunication, spécialités réseaux et systèmes, sécurité du logiciel...
Diplôme d'ingénieur spécialités informatique, génie informatique
- ingénieur/e systèmes embarqués
Être polyvalent
La curiosité technique de l'ingénieur systèmes embarqués s'appuie sur de solides connaissances en programmation informatique et en électronique. Avec des projets de plus en plus complexes et communicants, la frontière entre le matériel et le logiciel devient de plus en plus ténue. Il possède aussi des compétences en technologie et en conception de circuits électroniques (analogiques et numériques), mais aussi en réseaux de communication et en programmation. L'environnement, le contexte et les enjeux sont aussi à prendre en compte, d'où une solide formation en génie logiciel et sciences cognitives.
Savoir analyser et synthétiser
Il met à jour la documentation qui sert à réaliser les manuels d'utilisation et de dépannage, ainsi que le dossier technique lié au cycle de développement du projet. Capable d'analyse et de synthèse, il réalise un travail de veille technologique, en se tenant au courant des dernières innovations.
Se montrer créatif et réactif
Il a aussi un esprit créatif, indispensable à la conception de nouveaux produits, qui est un atout considérable. Son travail consiste à développer et à préparer de nouvelles applications et fonctionnalités pour des systèmes autonomes embarqués à l'intérieur d'autres machines. L'anglais est également indispensable pour être à jour (les publications techniques sont toutes en anglais) ou pour travailler dans un contexte international.
Dans l'industrie et la santé
La majorité des ingénieurs systèmes embarqués travaille en bureau d'études, dans les entreprises en conception électronique. Ils sont aussi présents dans l'industrie automobile, l'aéronautique, l'industrie de l'armement, l'énergie, les transports et la domotique (détection de mouvements, alarmes...), ou le secteur médical. Les organismes de recherche publics ne sont pas en reste.
Un travail d'équipe
Selon l'envergure du projet et les échanges nécessaires entre ingénieurs en électronique et en informatique, ce professionnel travaille seul ou en équipe. Généralement intégré au service R&D (recherche et développement), il peut également collaborer avec le département marketing. Sur certains projets importants, l'ingénieur peut être nommé chef de projet et encadrer des équipes d'ingénieurs et de techniciens. Certains concepteurs travaillent en plus petits groupes et utilisent des plateformes matérielles et logicielles intégrées. Ces ingénieurs peuvent ainsi se concentrer sur la conception, le prototypage et le déploiement rapide d'algorithmes à l'aide de jumeaux numériques.
À un rythme soutenu
Des horaires élastiques, voire une certaine dose de stress sont à prévoir en période de livraison, surtout dans les sociétés d'ingénierie.
Faire correspondre les résultats attendus et les moyens mis en oeuvre
Aéronautique, automobile, multimédia, domaine médical, domotique... le rôle des systèmes embarqués est primordial au quotidien. Objectif de l'ingénieur systèmes embarqués : que les bonnes procédures soient opérationnelles sur un objet pour qu'il exécute une tâche précise. Un système embarqué est un noeud de collecte et/ou d'exploitation de données. Selon les applications, plusieurs éléments organisés en objets numériques intelligents autonomes et communicants via un réseau internet communiquent en permanence en utilisant des composants actifs (qui dialoguent en temps réel avec une base qui alerte l'utilisateur en cas de problème) et passifs (qui attendent que l'utilisateur les interroge pour obtenir une information de leur part).
Conception, programmation, tests
L'ingénieur systèmes embarqués s'occupe du processus complet qui permet, à partir d'un cahier des charges, de concevoir une carte électronique, mais aussi de toute la partie programmation. Il intègre les composants électroniques (microprocesseurs), réalise les schémas, les câblages. Il peut aussi assurer les tests et le suivi de production.
Sécurisation et prévention
Selon les domaines, il peut faire davantage de développement ou de suivi des normes et de la sécurisation. Il assure la qualité du système et prévient toute défaillance. À l'ingénieur de maîtriser les caractéristiques des composants pour éviter les problèmes de communication de données dans le système.
Accès
Le métier d'ingénieur systèmes embarqués est accessible après un bac + 5 (master ou diplôme d'ingénieur) avec une spécialisation système/informatique embarqué, préparé notamment à l'Efrei Paris, l'Ensea Paris, l'Enssat Lannion, l'Esigelec, etc.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur spécialité électronique ; informatique ; informatique et réseaux ; informatique industrielle ; mécanique et électronique ; informatique industrielle ; informatique et électronique ; systèmes électriques et électroniques embarqués ; systèmes électroniques embarqués...
Master mentions automatique, robotique ; électronique, énergie électrique, automatique ; informatique ; ingénierie des systèmes complexes ; réseaux et télécommunication ; transport, mobilités, réseaux...
- ingénieur/e technico-commercial/e
Le sens des affaires
Pour exercer ce métier, il faut, bien sûr, savoir mener une négociation. Avec l'aisance relationnelle, la diplomatie et le sens de la persuasion que cela suppose. Pour les très gros contrats, l'ingénieur technico-commercial peut se faire aider par un ingénieur d'affaires.
Des compétences techniques
L'ingénieur technico-commercial n'est pas un vendeur comme les autres. Sa valeur ajoutée réside dans le fait qu'il sait cerner les problèmes pour y apporter des réponses précises. Et qu'il sait rendre accessible son savoir technique à ses clients.
Résistance au stress
Autonome dans l'organisation de son travail, il doit quand même rendre régulièrement des comptes à son supérieur hiérarchique. À savoir : atteindre les objectifs définis au préalable ! La pression du chiffre ne lui laissant guère de répit, mieux vaut, dans ces conditions, avoir les nerfs solides...
En lien avec divers services
L'ingénieur technico-commercial travaille en étroite relation avec les salariés du bureau d'études, de la production et du service marketing. Ces échanges sont indispensables pour comprendre les caractéristiques des produits et pouvoir les expliquer ensuite aux clients.
Sur le terrain
Privilégiant le contact direct, il utilise tous les moyens de transport mis à sa disposition pour rendre visite à ses clients. Sa journée peut commencer tôt et s'achever tard, une fois le dernier rendez-vous bouclé. Mobilité et disponibilité à toute épreuve font partie des conditions du métier.
Intermédiaire
Qu'il vende une carte électronique, une machine agricole ou un nouvel engrais, le technico-commercial joue un rôle d'intermédiaire entre la production et le client. Dans son offre, il tient compte du planning de fabrication de son entreprise, des stocks et des délais de livraison.
Des solutions adaptées
Comme tout commercial, il est capable de convaincre un client et de négocier un contrat. Mais il dispose d'un atout supplémentaire : ses connaissances techniques lui permettent d'analyser précisément les besoins de son interlocuteur et de lui proposer une solution sur mesure.
Une assistance technique
Le technico-commercial ne se contente pas de vendre un produit. Suivant de près l'installation et la mise en route des appareils, il assure la formation des utilisateurs. Il garantit aussi l'efficacité du service après-vente : entretien régulier et intervention rapide en cas de panne.
Accès
Pour vendre des produits de haute technologie, les recruteurs donneront la préférence à des titulaires d'un bac + 5. Les entreprises peuvent donner le titre d'ingénieur technico-commercial à un salarié titulaire d'un bac+2 après quelques années d'expérience (à la production, par exemple).
Niveau bac + 5
Masters pro du domaine commercial avec spécialisation en technico-commercial
Diplôme d'école d'ingénieurs (Esme-Sudria pour le génie électrique, ESB Nantes pour le bois et ECE pour l'électronique)
Diplôme d'école supérieure de commerce et de gestion
- ingénieur/e télécoms et réseaux
Haut niveau de technicité
L'ingénieur télécoms et réseaux possède une solide culture scientifique qu'il doit sans cesse mettre à jour pour s'adapter aux évolutions des technologies. Il maîtrise les techniques de pointe en microélectronique, informatique, optoélectronique, ainsi que les problématiques d'infrastructure, de câblage, de protocole et de sécurité. Il a une bonne connaissance des outils de gestion et d'administration ainsi que des systèmes d'exploitation. Les techniques de gestion et d'organisation de l'entreprise sont également nécessaires. Enfin, la pratique courante de l'anglais est indispensable.
Nouvelles compétences et qualités managériales
Aujourd'hui les ingénieurs en télécoms sont aussi formés à la cybersécurité, au big data, au très haut débit, au numérique au sens large.
S'il prend en charge un projet dans son ensemble, des qualités de gestionnaire et de manager lui sont indispensables pour gérer à la fois les aspects techniques et les aspects financiers.
Sens du contact et adaptabilité
Rigoureux et méthodique, l'ingénieur doit se montrer réactif pour s'adapter aux évolutions technologiques. Il a également une réelle aptitude à communiquer, rendue nécessaire par le développement d'équipes pluridisciplinaires (chercheurs, ingénieurs, techniciens, commerciaux, etc.).
Une variété de fonctions
Les conditions de travail sont très diverses selon la nature des tâches et le lieu où l'ingénieur télécoms et réseaux exerce (entreprises de télécoms, entreprises de services numériques, grandes entreprises et administrations possédant un réseau, équipementiers).
Les constructeurs et les opérateurs (Orange, Bouygues, SFR, etc.) encouragent la polyvalence et la mobilité fonctionnelle de leurs ingénieurs télécoms. Certains cadres sont ainsi réorientés vers des postes de commerciaux pour améliorer la force de vente de l'entreprise. Dans ce secteur sans frontières, la pratique courante de l'anglais et d'une autre langue est indispensable.
Au sein d'équipes pluridisciplinaires
Autonome, l'ingénieur télécoms exerce de plus en plus au sein d'équipes pluridisciplinaires, avec des chercheurs en mathématiques, physique ou informatique... Avec des ordinateurs très puissants, dans un atelier de fabrication où fourmillent les circuits et les composants, ou chez les clients, il peut travailler sous pression. Il ne compte pas ses heures lorsqu'il s'agit de boucler un projet à temps.
Rechercher et développer
En R&D (recherche et développement), l'ingénieur télécoms et réseaux expérimente de nouvelles technologies afin de rendre les techniques de communication toujours plus performantes dans la téléphonie fixe ou mobile, Internet, la fibre optique... Il crée des équipements ou services de télécommunications pour des applications diverses : téléphonie mobile, GPS, communication par satellite, radars... Il devient chef de projet lorsqu'il définit l'architecture globale d'un nouveau produit.
Installer et vendre
À l'interface entre les constructeurs de matériels et les utilisateurs, il met en place les réseaux de communication, il assure, par exemple, la mise en place de centraux téléphoniques ou le déploiement de la 5G. Objectif : organiser la circulation de l'information entre les différents services d'une entreprise ou entre l'entreprise et l'extérieur. Il adapte alors les matériels et les logiciels aux besoins de la société et étudie des solutions pour de nouveaux usages.
Chez les opérateurs de téléphonie, il peut occuper la fonction d'ingénieur d'affaires. Spécialiste du projet sur mesure, il détermine les besoins du client, les traduit en solutions techniques, établit un devis et assure le suivi de la réalisation du chantier.
Accès
Les écoles d'ingénieurs restent la voie classique de formation, mais le métier est également accessible aux ingénieurs universitaires diplômés. De nombreuses écoles d'ingénieurs Ensea, Enseirb-Matméca, ECE, Esiee-Amiens, écoles Télécom Paris, IMT Atlantique, Télécom SudParis) en électronique ou en informatique offrent une spécialité ou une option réseaux télécoms. Les écoles d'ingénieurs universitaires recrutent majoritairement à bac + 2. L'essentiel du vivier est composé d'étudiants ayant validé le 4e semestre d'une licence en sciences et technologies.
Niveau bac + 5
Master mention réseaux et télécommunication ou électronique, énergie électrique, automatique ; informatique ; ingénierie des systèmes complexes...
Diplôme d'ingénieur axé réseaux télécoms
- responsable du soutien logistique intégré
Des compétences techniques...
Le responsable du soutien logistique intégré a acquis de nombreuses connaissances scientifiques et de conception des systèmes. Il assure une veille technologique sur son domaine de compétences, et se tient en particulier à jour sur les méthodes de soutien logistique intégré. Il réalise notamment des ASL (analyses du soutien logistique) pour déterminer quel système de soutien sera le plus efficace, pour un coût calculé en fonction du cycle de vie complet du produit ou de l'équipement.
... et des qualités relationnelles
Créatif, il se montre polyvalent : son métier allie créativité et management de projet à des capacités relationnelles indéniables. Au contact du client et des services de conception, il doit faire preuve d'écoute et de pédagogie. Il est avant tout un professionnel du service support. À lui d'expliquer au client ce qui est réalisable ou pas du point de vue technique, en matière de suivi sur le long terme.
Anglais indispensable
L'anglais courant est requis : la plupart des entreprises industrielles concernées travaillent dans un contexte international et/ou disposent de clients à l'étranger.
Cadre dans l'industrie
Cadre supérieur, le responsable de soutien logistique intégré travaille au sein d'un grand groupe industriel, dans une PMI (petite et moyenne industrie) sous-traitante, d'une administration ou d'une société de conseil et d'ingénierie spécialisée dans les métiers de la gestion de projet, du soutien logistique et de la sûreté de fonctionnement. Il peut exercer ce métier en tant qu'expert, manageur de projet ou responsable de service pour la réalisation de toutes les prestations. Il intervient aussi en amont de la production du produit ou du système, pour prévenir les risques et faciliter la résolution des problèmes qui seront pris en charge ultérieurement par les ingénieurs maintenance, dans des secteurs industriels de plus en plus divers.
Sur une fonction transversale
Sa mission l'amène à travailler sur de nombreux sujets et à rencontrer de nombreuses personnes : ingénieurs, formateurs, rédacteurs techniques, acheteurs, etc. Sa fonction transversale lui permet de s'intégrer à des équipes pluridisciplinaires. Le responsable de soutien logistique intégré est amené à se déplacer ponctuellement sur des sites clients ou au sein des entités de son entreprise.
À un rythme soutenu
Une forte implication, voire une certaine dose de stress, sont à prévoir en particulier dans les sociétés d'ingénierie.
Communiquer, arbitrer
Le responsable du soutien logistique intégré fait le lien entre les clients, les utilisateurs et les équipes de développement. C'est un communicant, un négociateur... un arbitre aussi. Sa mission : anticiper les problèmes qui pourraient surgir tout au long de la vie du produit et prévoir des solutions.
Anticiper l'avenir d'un produit
Dans quelles conditions sera-t-il utilisé ? De quels moyens dispose le client pour en effectuer l'entretien ou les réparations ? Les réponses à ces questions (et bien d'autres encore) permettent à ce professionnel d'orienter le travail des équipes de développement. Par exemple, pour choisir des matériaux résistants au climat, pour placer des voyants de contrôle et des outils de diagnostic de pannes à des endroits facilement accessibles... Il doit aussi penser au conditionnement (emballage), au stockage et au transport des matériels et des pièces de rechange, car ils ont un impact sur la conception même du produit.
Former les utilisateurs
Enfin, le responsable du soutien logistique intégré supervise la rédaction des modes d'emploi et de la documentation technique, la définition des formations des futurs utilisateurs... prévoit les pièces de rechange et les outils de réparation, etc. Sans oublier, car c'est un véritable chef de projet, la gestion des plannings et des budgets.
Accès
On accède au métier avec un bac + 5 (diplôme d'ingénieur ou master) voire un bac + 6 (mastère spécialisé).
Bac + 5
Diplôme d'ingénieur en électronique, télécommunications, maintenance ou autres filières techniques
Master mention gestion de production, logistique, achats ou réseaux et télécommunication
Bac + 6
Mastère spécialisé en management de projet et ingénierie système
- spécialiste de l'accessibilité numérique
Connaître l'entreprise et le Web
Le spécialiste de l'accessibilité numérique doit allier une bonne connaissance de l'entreprise (à travers ses produits, services, son identité et son fonctionnement, notamment) avec des compétences éditoriales et techniques propres au Web.
Au fait des réglementations
Il doit également connaître la législation française et européenne en matière d'accessibilité, ainsi que les référentiels spécifiques. La pratique de l'anglais est souvent demandée.
Force de conviction
Curieux, ouvert au dialogue et pédagogue, le spécialiste de l'accessibilité aime communiquer et sait convaincre. Il s'exprime de manière claire et concise, et a le sens de l'écoute et de l'empathie. Il sait se montrer persévérant et apprécie le travail en équipe.
Rattaché à la DSI
En entreprise, le spécialiste de l'accessibilité numérique travaille en général sous la responsabilité de la DSI (direction des systèmes d'information). Il se positionne comme une interface entre les utilisateurs et les éditeurs de logiciels ou les fabricants de matériel.
Autonome
S'il travaille en général seul, le spécialiste de l'accessibilité numérique est cependant face à de nombreux interlocuteurs : utilisateurs, développeurs, directeurs de service, etc. Il doit organiser et animer un grand nombre de réunions afin de sensibiliser l'ensemble des personnes concernées à l'accessibilité. Des qualités de communication et d'écoute sont donc nécessaires à l'exercice de ce métier.
Souvent consultant
En tant que consultant extérieur à l'entreprise, il se déplace souvent, au gré de ses missions, qui peuvent durer de quelques jours à plusieurs mois. Il doit également s'adapter rapidement à de nouveaux environnements et faire preuve de conviction pour faire passer ses préconisations.
Établir un diagnostic
Son rôle consiste à assurer l'accessibilité des contenus informatiques et à veiller au respect des référentiels de l'accessibilité. Pour cela, il commence par établir un diagnostic visant à identifier les points qui peuvent être améliorés sur le site ou l'outil concerné. À partir de là, il fait des préconisations et participe aux études de faisabilité pour mettre en place les nouvelles normes.
Accompagner les changements
Il met en place des tests utilisateurs et évalue les résultats afin d'affiner, le cas échéant, les modifications à effectuer. Il veille ensuite à ce que ces nouvelles normes soient respectées par tous de manière pérenne. Il peut ainsi être amené à vérifier les offres des prestataires extérieurs du point de vue de l'accessibilité. Il participe aussi à la réalisation d'outils de formation dédiés aux utilisateurs et conduit des actions de sensibilisation.
Conseiller et informer
Enfin, il effectue un suivi afin d'adapter les outils sur la durée. Il exerce une veille pour anticiper les évolutions nécessaires et surveiller les changements éventuels dans la législation. Il établit une charte des bonnes pratiques à respecter et a un rôle de conseil auprès des équipes de création et d'opération.
Accès
On accède généralement à ce métier après quelques années d'expérience. Par exemple, en tant que chef de projet Internet, webmaster ou encore développeur ayant été sensibilisé au sujet. Les titulaires d'un bac + 5 dans le domaine du Web ont cependant leurs chances en complétant leur cursus par une formation courte spécialisée dans l'accessibilité numérique (via des organismes de formation professionnelle comme Atalan, Qelios...) qui leur donnera les bases nécessaires à l'exercice du métier.
Niveau bac + 5
Diplôme d'ingénieur spécialisé en informatique
Master mentions informatique, réseaux et télécommunications, MIAGE...
Etablissement
- Faculté des sciences et ingénierieToulouse31062
Unité de formation et de recherche
Faculté des sciences et ingénierie
118 route de Narbonne
31062
Toulouse
05 82 52 57 21
• Enseignement : public
• Durée de formation : 2 ans
• Rythme : temps plein
• Hébergement : externat fille garçon
• Début : 01/09/2023
• Fin : 30/06/2025